Comunique de presse

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Paris, le 24 août 2005

Suite à la publication ce jour par le Canard Enchaîné d’éléments relatifs à une enquête en cours du Conseil de la Concurrence, Orange, qui contestefermement l’existence d’une entente entre opérateurs mobiles, entend rappeler les éléments suivants :

Il s’agit d’une procédure en cours couverte par le secret de l’instruction, sur laquelle Orange ne peutdonc pas faire de commentaires. Orange réserve l’ensemble de ses arguments au conseil de la concurrence, devant lequel elle est en train de développer sa défense. Ces arguments se fondent sur deséléments juridiques précis et sur de nombreuses analyses et études économiques qui contredisent la thèse d’un pilotage du marché des mobiles et d’un gel des parts de marché.

Orange rappelle que l’idéede « pilotage » d’un marché de 45 millions de clients s’approvisionnant auprès de 20.000 points de vente est totalement irréaliste. Pendant la période considérée, 20% des clients en moyenne ont changéd’opérateur chaque année ; en outre la moitié des points de vente distribuant des offres mobiles n’appartiennent pas aux opérateurs mais sont ceux de distributeurs indépendants ou de grands groupes dedistribution mettant constamment en concurrence les offres des différents opérateurs mobiles.

Orange indique que France Télécom, par le biais d’un porte-parole, a formellement indiqué : « qu’àaucun moment il n’a été mentionné ou évoqué un quelconque « Yalta Part de Marché » à l’occasion d’une réunion de son Comité Exécutif », en particulier celle du 28 octobre 2002.

Par ailleurs, Orangesouhaite contribuer à rétablir une image plus juste du secteur des mobiles en France, marqué par plus de 60 milliards d’euros d’investissements en 10 ans et qui génère 250 000 emplois induits. Lecaractère effectivement concurrentiel de ce marché n’a cessé de profiter aux consommateurs.

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Orange rappelle ainsi que le nombre d’utilisateurs de téléphones mobile en France a été…