Deux cents ans se sont écoulés depuis la Malthus prophétique énoncés sa proposition, en substance, que la population humaine augmenterait à un point de manière à dépasser les ressources mondialesnécessaires pour la soutenir. Jusqu’ici, bien que problématique dans certaines régions du monde, nous sommes encore sur OK. Malthus n’avait pas prévu les progrès scientifiques qui ont touché l’autre desdeux parties de sa proposition. La population mondiale a connu une croissance lente jusqu’à la révolution industrielle, lorsque, les progrès en matière d’assainissement, de la technologie, et de ladistribution alimentaire a baisse des taux de mortalité. agriculteurs mécanisés sont maintenant obtenir plus de nourriture à partir d’un acre de terre arable que jamais Malthus aurait pu imaginer. Il estvrai, cependant, contrairement à ses régions industrialisées, les parties non-industrialisés de notre monde d’aujourd’hui connaissent des taux de natalité élevé et en diminuant les taux de mortalité.Le contrôle des naissances, avec absolument aucune Merci à l’église catholique, a, en particulier dans les régions industrialisées du monde, ont contribué à une diminution du taux de croissance de lapopulation mondiale. Le problème de la population peut encore être battu. L’objectif doit être égal à zéro la croissance démographique, et de nombreux démographes prévoient que cet objectif pourraitêtre atteint dans les 100 prochaines années. Bien que les prédictions des experts varient grandement quant à savoir si et quand nous serons en mesure d’obtenir les niveaux de notre population souscontrôle, la plupart conviennent que des événements imprévisibles faire des prévisions fondées sur les tendances actuelles hautement suspect.
La tempête qui a commencé sur la théorie exprimée par Malthusen 1798 n’a pas encore à se calmer. Ce n’est pas tellement plus les difficultés grandissantes d’une population croissante qui apportera. La tempête de l’argument est plus ce que si quelque chose…