Schizophrénie

La schizophrénie théorique

1. Défintion

La schizporénie provient du grec ( schizo ) signifiante fractionnement et ( phrène ) désignant l’esprit . C’est une perte de contact avec la réalité ou d’un point de vue psychanalytique , d’un conflit entre l’équilibre et la réalité . La schyzophrénie est une psychose , c’est-à-dire que le malade n’ est pas conscient de la maladie , elle se déclareprécocement dans la plupart des cas entre 15 & 35 ans zqt se répartis dans les deux sexes . La schizophrénie existe dans toutes les cultures , races , et civilisation .

2. Etiologie

A l’heure actuelle , l’étiologie de cette maladie reste inconnue mais on sait qu’il y a une interaction de plusieur facteur

3. Causes

–> génétique
5 % s’il a un parent du deuxième degré ( oncle , tante, cousin , cousine )
10 % s’il a un parent du premier degré ( pére , mére , frére , souer )
10 % s’il a un jumaux différent qui souffre de la schizophrénie
40 % s’il est enfant de deux parent schizophréne
50 % s’il a un jumaux identique qui souffre de la schizophrénie

–> Biologique
un trouble du métabolisme de la dopamine
un trouble du dévelloppement du cerveaux dufoetus lors de la grossesse

–> Psychosociaux
une coupure brutale avec la culture et c’est origine
le stress maternel
les traumatismes lors de l’enfance et la petites enfances
l’isolement social
les circonstance de vie

4. Symptôme et signe

Les signe est les symptôme peuvent varié d’un patient a un autre . Ils peuvent aussi varier chez un patient d’un semaine a l’autre oumeme d’une heure a l’autre ou bien même dans les circonstance ou il se trouve . Cette variabiliter des signes rend le diagnostic trés difficile a poser

* Altérations du comportement et de l’humeur
Le malade se désintéresse de tout et perd toute motivation, il évite le contact avec les autres, se replie sur soi-même, s’isole dans sa chambre où il s’enferme. La nuit, il peut être insomniaque etexagérément actif, tandis que le jour il se cache sous les couvertures et ne bouge plus. Ses réactions affectives sont incongrues. Il peut se comporter avec froideur et insensibilité. Il peut rire dans les situations tristes ou pleurer quand on plaisante. Il peut être excessivement irritable et crier, être déprimé, abattu et même parler de suicide, ou au contraire déborder d’une activité extrême,mais désordonnée, inadéquate et improductive.
* Troubles du raisonnement, idées délirantes
Les pensées semblent ne plus parvenir à s’enchaîner logiquement et le raisonnement peut devenir tout à fait confus et incompréhensible. Il peut être ralenti ou procéder par bonds en sautant des étapes, ou complètement « dérailler ». Les relations logiques (du bon sens commun) disparaissent. Le malade peutavoir des idées fixes, des convictions fausses, éventuellement tout à fait aberrantes ou absurdes, auxquelles il s’accroche avec un entêtement inébranlable, même face à l’évidence, résistant à toute argumentation rationnelle (type de raisonnement parfois qualifié d' »autiste »): ce sont les idées et convictions délirantes.
* Hallucinations, angoisses, terreurs, panique
Surtout pendant les périodesaiguës de la maladie, c.à.d. pendant ce que certains appellent les « crises » – tandis que d’autres parlent, mais à tort, de « rechutes », le fonctionnement cérébral altéré fait que les perceptions visuelles, auditives, olfactives, gustatives, tactiles et cutanées (et parfois aussi, celles qui nous renseignent sur l’état de notre corps: celle de la sensibilité dite « proprioceptive »), peuvent êtrefaussement interprétées par le cerveau. Le malade peut entendre, voir, sentir, éprouver, de manière parfaitement réaliste, des choses qui en réalité n’existent pas: il peut entendre des voix qui lui donnent des ordres ou se moquent de lui, qui conversent entre elles à son sujet.Ce sont en effet les hallucinations auditives qui sont les plus fréquentes, mais il peut aussi voir des personnages…