Sommaire
Introduction
Chapitre 1 : Secteur textile-habillement Marocain
Section 1 : Le secteur du textile-habillement au Maroc: levier de l’économie nationale
Section 2 : L’importance du secteur du textile-habillement dans l’économie marocaine et son positionnement international
Section3 : Les principales caractéristiques du secteur TH
Chapitre 2 : Management de la qualitéSection 1 : Définition et caractéristiques de la qualité
Section2 : présentation du management de la qualité
Chapitre 3 : Le management qualité de la société Cofassel
Section 1 : Présentation générale du cadre d’étude
Section2 : Le SMQ au sein de la société Cofassel
Conclusion
Références Bibliographiques
Références Webographiques
Annexes
Tables des matièresIntroduction
La mondialisation des marchés et de la globalisation financière font que les entreprises sont, de plus en plus, ouvertes à une concurrence mondiale où les facteurs contribuant à la compétitivité tels que la qualité, les prix concurrentiels et la livraison dans les délais sont amenés à jouer un rôle primordial.
A mesure que s’améliore la qualité de la vie, lademande de produits et de services de meilleure qualité augmente également. Partout dans le monde, les clients exigent que le produit ou le service pour lequel ils ont payé corresponde à leurs spécifications, réponde à leurs attentes ; et qu’il fonctionne comme prévu. La qualité est alors vue comme la capacité de répondre aux attentes du consommateur à un coût et à un prix, tous les deux,« acceptables » l’un par l’entreprise, l’autre par le client.
Il n’est possible aujourd’hui d’atteindre le niveau de qualité requis dans un produit qu’en utilisant un système de management de la qualité digne de ce nom.
Plusieurs entreprises, de par le monde, l’ont compris et intègrent dans leurs stratégies ce management de la qualité considéré par Stora et Montaigne comme
« L’implication de toutes lesfonctions de l’entreprise qui interviennent dans la vie d’un produit ou d’un service pendant la durée du cycle, avec la totalité du personnel, orientant tous les moyens vers la prévention des défaillances, systématisant la relation client – fournisseur, prenant en compte tous les besoins des clients relatifs à la qualité, aux délais, aux prix, aux performances, avec pour objectif final lasatisfaction totale des clients, c’est-à-dire le zéro – défaut ».
Au Maroc, le management de la qualité s’impose à toute entreprise désireuse de satisfaire une clientèle de plus en plus exigeante, tout en étant aussi compétitive.
L’objet de la qualité est donc de fournir une offre adaptée aux Clients, avec des processus maîtrisés tout en s’assurant que l’amélioration ne se traduit pas par un surcoûtgénéral, auquel cas on parle de «sur-qualité». Il est possible d’améliorer un grand nombre de dysfonctionnements à moindre coût, mais, à l’inverse, plus on souhaite approcher la perfection plus les coûts grimpent !
L’opposé de la qualité, nommé non-qualité, possède également un coût. En effet il s’avère généralement plus coûteux de corriger les défauts ou les erreurs que de «faire bien» dès ledépart. D’autre part, le coût de la non-qualité est d’autant plus important qu’elle est détectée tardivement. A titre d’illustration, réaliser à nouveau un Produit défectueux coûtera au final plus du double du prix de production du Produit initial s’il avait été réalisé correctement. Qui plus est, la différence de prix sera moins grande si le défaut est détecté en cours de production que s’il estdétecté par le client final (insatisfaction du client, traitement de l’incident, suivi du client, frais de port, etc.).
Ainsi que ma problématique vient de s’imposer : Dans quelles mesures le management qualité pourra réduire l’impact de la non-qualité ?
C’est pourquoi, tout au long de ce travail je vais essayer de répondre à l’ensemble des questions suivantes :
? Quelle serait la…