Dissert

Revenons sur notre personnage, Louis, et parlons un peu de lui et des mésaventures qui l’ont amenées a cet incident. Il était, depuis toujours un très grand ami de William. Louis était son opposéphysique de, petit, blond avec des yeux noirs, ces yeux lui donnaient un air mystérieux. On n’y voyait aucune peur, aucune joie, aucune colère. Ils étaient les clefs de son âme, on ne pouvait lesdéchiffrer, ce qui lui valait un franc succès auprès des femmes, mais elles ne l’intéressait plus il n’en avait que trop eu durant toutes ces années.
Ce qui importe dans cette histoire ce n’est pas le nombrede femmes qu’il a connues mais son accomplissement personnel. Comme William, il rêvait de changer les choses et dans sa famille, depuis la guerre d’indépendance des Etats-Unis, un lègue idéologiquecirculait :
Révolution… !!
C’est pour ce mot, cette idée que Louis s’est démené et c’est retrouver dans cet état-là.

Il faisait nuit. Louis se réveilla en sursaut. Il venait de rêver. Il avaitperdu une jambe s’était retrouvé chez son ami William, et il y avait ces papiers aussi, cette chose si importante, que représentaient-t-il ? Encore sous l’emprise de la fatigue Louis se souvenaitvaguement de son rêve…
Soudain, tout s’éclaircissait, il n’avait pas rêvé, tout cela était bien réel, maintenant il sentait sa jambe, et la douleur s’amplifiait au fur et a mesure que les effets de lafatigue se dissipaient. William entra en trombe, il faillit renverser le vase qui se trouvait près de la porte,
Je sursautais. Il vint près de moi et murmura :
– « Ils arrivent » la seule choseque je trouvais à répondre fut : « Où sont les papiers ?! »
– Dans ma poche, vite !! » On entendait les bruits de pas dans les escaliers, il fallait faire vite.
– Passe par la fenêtre, jeles retiens, me dit William
Arrivé dans la rue il ne me restait plus qu’à courir, mais comment ? ma jambe me faisait trop mal, une voiture ? je n’avais pas un sou. Soudain j’aperçus un cheval qu’on…