Test animalier

Nous pouvons nous interresser dès à présent à l’éthique de ces pratiques. En effet, quel effet cela fait d’être une chauve-souris?», demandait en 1974 le philosophe Thomas Nagel. Il soutenait alors que nous n’avions absolument aucun moyen de le savoir sauf à être une chauve-souris. Quelques travaux l’ont démenti depuis. Neurobiologistes, éthologues et psychologues ont montré que l’investigationscientifique était possible en matière de conscience animale. Dès lors si nous nous appuyons sur la définition de conscience, stipulant que cette dernière est ce qui fait essenstiellement de nous des sujets , qui fait que nous possedons une certaine reflexivité, nous pouvons considérer que tout être étant doté de cette conscience serait capable de ressentir des sentiments comme le peure ou ladouleure. L’existence ou non d’une conscience annimal est donc le point de départ du problème éthique que soulève la question des test annimaliers. En effet, pour une part de philosophe c’est cette absence de conscience qui va affirmer la supériorité de l’homme sur l’annimal ou bien justiifer le test annimaler, puisqu’en effet si l’annimal n’est pas en mesure de ressentir la peure ou la douleure ilapparaît comme logique de ne pas faire subir à l’Homme ces souffrances que lui ressentirait de manière effective. Cependant si l’on se range du côté des Hommes de sciences pensant que l’annimal possèdent des facultés plus développées que nous n’avons voulut l’admettre jusque là … cela pourrait signifier que l’annimal souffre lorsqu’il est inscecament prisinner d’une cage, ou abbatu par desexpéeriences qui se révèlent toxic pour son organisme. En somme, d’un point de vue éthique à t’on le droit en tant qu’être vivant de faire souffrir déliberement un autre être vivant pour servir ses propres interêts?

Le Docteur veterianaire Troncy P.M dira  » Avec les annimaux nous avons la douleur en partageces: pourtant nous les utilisons sans remord  » Mais sur quelles informations se base t’ilpour proclamer une telle information. Ces dernières années avec l’augmentation des émotions publique engendrées face aux tests fait sur les annimaux , plusieurs études ont été révelées ou entreprises. Ainsi, ces dernières rompt totalement avec les deux idées dominantes depuis des décenies, à savoir que l’annimal ne ressent pas les choses comme l’Homme peur les ressentir ou que il nous est impossiblede développer des hypothèses à ceu sujets car aucun de nous à été annimal. Ainsi, Après des années passées à la recherche de la conscience le neurobiologiste américain Christof Koch est formel: «La conscience n’est pas le propre de l’homme.» D’ailleurs, le cerveau humain n’a pas de lobe spécifique ou d’élément inconnu des autres êtres vivants, notamment dans la partie préfrontale, réputée lesiège régulateur des pulsions, l’«organe de la civilisation». Au-delà des grands singes et des mammifères supérieurs, Christof Koch pense même que les abeilles, les calmars et même les vers de terre sont capables de comportements sophistiqués, «de sorte qu’on ne peut exclure qu’ils possèdent aussi un certain niveau de conscience». Cela ne signifie pas, bien entendu, que tous les animaux aient la mêmeconscience. Mais, à moins d’être atteint de «mentaphobie» , terme forgé par Donald Griffin, pour désigner le déni de toute conscience hors l’espèce humaine , il est difficile deprétendre encore aujourd’hui que l’animal n’est qu’un automate obéissant à des règles propres à son espèce, n’incluant aucune reflexion ou choix , génétiquement programmés ou conditionnés . En effet, d’après lesientifique il lui serait difficile de survivre s’il n’était sensible aux changements de son environnement et capable de fournir des réponses ( en terme d’hatitude)adaptées.

La conscience de soi peut être étudiée chez le chimpanzé par le « test de la croix ». Si l’animal touche la croix, faite sur son front dans son sommeil,…