La peur

Ana Zarak

“Dans la vie, rien n´est à craindre, tout est a comprendre”
Marie Curie

LA PEUR

La peur est un sentiment humaine donc, bien sûr je l´ai bien ressenti. La peur se génère avec lapensée de la mort, l´angoisse du désir et avec les limites de la psyché. C´est par la peur que les êtres humains peuvent survivre et, au même temps, c´est la peur que nous empêche de vivre librement.Aujourd’hui, quand je pense à ma plus grande peur, je me défends avec la rationalisation de la psychanalyse. Mais, les traces inconscientes sont toujours là, dans les coins les plus profonds demon âme.

Pendant beaucoup d´ânées de mon enfance j´avais une peur insupportable de la nuit, de la vides où tous les fantômes se formaient. Le moment de me coucher devenait une grande terreur. Ledésespoir me parcourait tout le corps et mon paralysait.

Dans ces moments-là, je ne pouvais plus raisonner tout ce que je ressentais. Je détestais la nuit et ses terribles démons. Il y avait quelquesnuits dont je restais réveillée, je pleurais, je criais, je attendais à l´extérieur de la chambre de mes parents. Autres quand ma mère, après d´être touchée par ma doleur, me accompagnait jusqu´aumoment que je m´endormais (maintient, dans un escape au bovarysme et en lisant les romans français, je m´identifie avec le petit personnage du Prout dans “A la recherche du temps perdu” et je trembleavec la beauté de son écriture.), je souffrais.

Ainsi, le moment de grandir arrivait. Je me confrontais à mes propres démons et peu a peu j´apprendrais à les taire. Cependant, c´est quand j´aiquitté ma maison d´enfance que j´ai commencé à aimer la nuit et la possibilité de rêver.

En grandissant loin de mes parents, je me suis promise à moi-même que je jamais ne me laisserais plus jamaismon faire paralyser par la peur. J´ai commence à aimer ma liberté en détestant les constants appels de mon père qui craignait ma vie à Mexique. J´ai lui ait toujours dit cette phrase : “La peur…