Chapitre 17:
Candide ou l’optimisme de Voltaire est un conte philosophique qui paru pour la première fois à Genève en 1759. Celui-ci rapporte une critique des philosophies et manières de penser del’époque. Dans ce chapitre l’optimisme de Candide reste inébranlable quelque soit les épreuves qu’il traverse. Dans cet extrait, nous parlerons de l’égalité de Candide et Cacambo par rapport à leursstatuts socials, puis nous verrons que le malheur s’abbatra sur Candide et Cacambo et que Candide a un optimisme qui résiste à toute épreuve.
Tout d’abord, Candide et Cacambo ont autant deconsidération pour l’un que pour l’autre. Ils sont sur un même pied d’égalité malgré que Cacambo soit le valet de Candide. Candide demande conseil à Cacambo : « Comment y retourner et où aller ? » ( ligne 4). Candide ne sait où aller car dans beaucoup de pays il est devenu l’ennemi public numéro 1 : « Si je vais dans mon pays, les Bulgares et les Abares y égorgent tout ; si je retourne en Portugal, j’ysuis brûlé ; si nous restons dans ce pays-ci, nous risquons à tout moment d’être mis en broche » ( lignes 4 à 7 ). Malgré tout Candide veut retrouver Cunégonde à tout prix quite à braver tout lesdangers. Cacambo lui conseille d’abandonner Cunégonde pour le moment et d’aller vers Cayenne : « Tournons nous vers la Cayenne » ( ligne 10 ).
Puis, Candide se retrouve une nouvelle fois cible dumalheur. Ils doivent passer par des « montagnes », « des fleuves », « des précipices ». Ils doivent faire face à « des brigands », « des sauvages ». L’auteur utilise la lexique de la nature et le lexiquedu malheur. Malgré tout cela Candide arrive à garder son sang froid et essaie de se sortir de ses situations délicates.
Pour finir, Candide fait face à une situation plutôt précaire alorsqu’il vivait dans un château et était plutôt bourgeois. Il ne semble pas malheureux : « recommandons nous à la Providence » (ligne 27). Il s’en remets au destin et à la chance et reste optimiste malgré…