Un historia commun

Antonio GALA, A quien conmigo va (El pais semanal, 21 de julio de 1991)
Je ne crois pas avoir fait quelque chose de mal ce matin… Ils me paraissaient très nerveux. Ils allaient et venaient par les couloirs (pasillos), s’esquivant les uns les autres. La petite – la plus amicale- me heurta (chocar) deux ou trois fois. Je la cherchais des yeux, parce que c’est le meilleur moyen que j’ai de lescomprendre : les yeux et les mains. Elle pouvait dominer le reste de son corps, s’ils se proposent, ils peuvent te tromper et se tromper entre eux ; mais les mains et les yeux, non. Pourtant (sin embargo), ce matin-là ma petite ne voulait pas me regarder. Seulement après de la suivre tout le temps, dans ce va-et-vient inhabituel, elle me dit : « Drake, ne m’énerve pas. Tu ne vois pas que nous partonsen vacances, et que nous faisons les valises ? » Mais elle ne me toucha pas ni me regarda.
Les trois plus grands, ma petite, son frère et moi… C’était difficile de tenir dans cette voiture, tant chargé de paquets (bultos) ; mais nous étions bien, si serrés (apretados). Je me blottis dans la partie de derrière, sous les pieds des enfants. Sa mère s’assit à une extrémité, où elle a l’habitude des’assoir. Il a été quand nous avions déjà perdu de vue la ville. Il se mit (echar) d’un côté et arrêta (parar) la voiture, et me tira (aggarar) par le collier (collar). Je ne compris pas. Peut-être il voulait que je fasse pipi, mais je l’avais déjà fait contre un arbre pendant qu’ils chargeaient (cargar) et disposaient les paquets. Je résistai un peu, et lui, avec beaucoup d’irritation(irritacion) et de voix, il me tira (tirar). Il me donna un coup de collier (hacer dano en el cuello). Je descendis (bajar) de la voiture. Il poussa (empujar) la porte avec violence, et retourna s’assoir au volant. J’entendis le bruit du moteur. Elle leva les mains vers la petite fenêtre, je m’appuya contre le cristal. Derrière lui, je vis la tête de ma petite avec les yeux très ronds (redondos) ; seslèvres (labios) tremblaient… Il fit démarrer (arrancar) la voiture, et je n’entendis plus de bruit. Je regardais en direction des disparus qui me distançaient, et la voiture noir ne put éviter de me percuter (atropellarse).
Ma pate me faisait mal même quand je me la léchai (lamar). Ça me faisait toujours mal… Bientôt (pronto) ma petite viendra et me nourrira (acariciar) et me regardera dans lesyeux. Les yeux et les mains de ma petite ne seront jamais capables (capaces) de me tromper. Je resterais ici. Si tu pouvais me donner un peu d’eau : il fait tellement chaud et je fais tellement de rêve. Je ne peux pas dormir. Je dois être éveillé (despierto) quand ils arriveront. Je me sens plus seul que quiconque dans ce monde… Je resterai ici jusqu’à ce qu’ils me reprennent (recoger). Pourvu qu’ilsviennent vite.

Introduction : el texto que nos interesa es un articulo cuyo el titulo es UN HISTORIA COMUN que fue aparecido en EL PAIS SEMANAL, el venti uno de julio de dieci nueve noventa y uno (1991) por Antonio GALA. Antonio Gala es un escrito espanol muy famoso que escribio obras de teatro, poemas, narrativas y articulos. En sus articulos de su pluma va brotando la galería de personajesque componen su desconsolado (affligé) paisaje cotidiano. Este fragmento nos cuenta la triste historia, a la vez muy comun de un perro llamado Drake que fue abandonado por su familia en un periodo de vacaciones.
En primer lugar recordaremos la anecdota, despues hablaremos de los personajes que no se comportan como humanos y por fin nos interesaremos de Drake que parece muy humano.
Primer eje :la anecdota
Es la historia de un perro llamado Drake. Un dia, Drake se dio cuenta que algo andaba mal, por que al ver que la nina pequena no le hacia los gestos y carinos habituales. La familia salia de vacaciones et llevan a Drake con ellos. Todos se instalan en sus lugares respectivos del coche. Y ya lejos de la ciudad, supuestamente el padre de la pequena nina detiene (arrête) el coche y…