De nos jours, il existe de plus en plus de nouvelles technologies, dans différents domaines. En médecine par exemple, elles évoluent continuellement. Plusieurs de ces méthodes soulèvent de grandesquestions et débats. C’est le cas de l’euthanasie, une méthode qui n’est pas encore acceptée par la loi. Parmi l’interdiction que notre société impose sur cette méthode, certaines personnes souffrant demaladies graves et dégénératives, n’ont pas hésité à se rendre en cours pour faire valoir leur désire de mourir. Sue Rodriguez est l’une de ces personnes atteintes d’une maladie où sa santé necessait de se dégrader. Cette femme, possédant une détermination à tout casser, n’a jamais cessé de se battre pour faire valoir sa cause. Une cause qui, selon moi, mérite toute l’attention du monde. Jecrois que l’euthanasie devrait avoir sa place dans notre société. Cependant, il est important d’établir des limites à ce pouvoir de mourir. C’est pourquoi il est essentiel de trouver un juste milieu quisaura avoir des répercussions positives et éviter les mauvaises.
Une libération pour les victimes de maladies graves
De plus en plus, les hôpitaux débordent de patients, ce qui est dû, enpartie, à une population vieillissante. Une bonne partie de ces patients sont des mourants en soins palliatifs. Ayant dernièrement vu la souffrance d’un proche, il est plus facile pour moi de comprendre ledésir de ces gens, en phase terminale. Ceux-ci, malgré leur immense souffrance, ne veulent pas perdre leur dignité. Ces gens n’en peuvent tout simplement plus de souffrir. Il est tout à fait normalqu’ils aient l’envie d’en finir et de partir vers un monde sans souffrance. Je ne comprends pas les gens qui n’envisagent pas l’euthanasie comme légale. Comme Sue Rodriguez, c’est gens qui en viennentà perdre leur autonomie, n’ont plus le goût de vivre et ne se sente plus en sécurité. C’est ici qu’entre en ligne de compte un article de la charte des lois et liberté qui dit : « Chacun a droit à…