Il s’agit d’un roman autobiographique où l’auteur parle d’une étape dans sa vie où il a vécu au Japon. À 22 ans, elle a signé un contrat pour une année dans la compagnie Yumimoto.
Le titre n’estpas gratuit, il y a un motif. La stupeur et le tremblement sont les sentiments que l’Empereur doit provoquer sur ses sujets, et en effet, résume bien la culture d’entreprise japonaise, que le stupeuret le tremblement est ce qui doit causer le patron aux ses employés.
Le livre reflète les problèmes d’Amélie avec la société nipone, les autres travailleurs et ses supérieurs. D’une part, il ya unchoc des mentalités, l’Orient et l’Occident ne pensent pas, ne se comportent pas et, pourquoi non, ne sentent pas de la même facon.
On doit ajouter ici le racisme: les Orientaux se sentent supérieursaux Occidentaux.
Leur organisation, leur pensée, leur maniere de travailler et de vivre … finalement et comme ils disent, ils ont une intelligence supérieure qui leur permet de traiter d’unemanière humiliante aux Occidentaux.
D’une côté, Amélie est jeune et femme, deux problèmes en ajoutant a être de l’Ouest.
Au Japon, le rôle des femmes au travail n’est pas du tout agréable: si elledédique le temps pour se faire connaître, pour travailler pour la société, elle n’a pas de temps pour trouver un futur mari et de le mettre a l’aise, puis finit par rester seule, ce qui est un stigmate.Peut-être la chose la plus surprenante du roman de Nothomb est surtout la hiérarchie des relations sociales au Japon. Dans l’entreprise l’initiative est pénalisée. Á Amélie ses superieurs l’ont intérditá utiliser le japonais, même si elle a été embauchée dû au maîtrissement du même. En effet, elle n’est pas tres sûre pourquoi a été contratée.Elle commence par servir des cafés, mais rapidementl’obligent a l’abandonner, baissant ainsi un échélon dans la hiérarchie.
Comme elle ne trouve pas l’attitude correcte dans cet environnement hostile et ne comprend pas ce qu’on attend d’elle, souffre…