Pour le philosophe Allemand Friedrich Nietzche La possibilité d’oublier est la capacité qui fait qu’un bonheur est un bonheur que celui-ci soit grand ou petit. Cette possibilité d’oublier peut aussis’exprimer en termes plus savant pour Nietzsche comme « la faculté de se sentir pour un temps en dehors de l’histoire » c’est-à-dire la capacité de voir les choses uniquement dans leur présence, telqu’elles sont au moment même et donc sans se les représenter dans le temps, par rapport l’histoire qui est révolue. Ainsi l’Homme qui est capable d’oublier, sans prendre conscience du futur et du passépeut connaitre un vrai bonheur, et être capable d’en profiter d’avantage. Le bonheur réside donc dans le « carpe diem » (latin : cueille l’instant présent). Au contraire « l’Homme qui est incapablede s’asseoir au seuil de l’instant présent » de profiter du présent, de l’instant fugitif, qui se ressasse les événements du passé ne connaitra jamais le bonheur et fera jamais rien pour donner dubonheur aux autres. Il ne jouira pas du présent car « condamné à voir partout qu’un devenir » il sera submergé par le « torrent du devenir » incapable de bouger, d’agir et ainsi de connaitre le bonheurcar il sera « noyé » par ces espérances. A l’inverse celui qui peut se « dresser un instant tout debout comme une victoire » sera fort, il croira en lui, en son existence et il pourra connaitre le plusgrand bonheur et saura donc le partager aux autres. L’oubli s’impose donc comme la nécessité pour vivre au mieux sa vie, sans cela on peut rester esclave de ses souvenirs passé ou bien espérer unfutures meilleur qui peut se révélé être qu’une illusion. Cette incapacité à oublier se révèle donc être un frein à l’obtention du bonheur et plus largement « tout acte exige l’oubli » c’est un besoinquasi vitale comme la vie des être organique nécessite la lumière mais aussi l’obscurité.
Pour Nietzsche « il est possible de vivre presque sans souvenir et de vivre heureux » Pour illustrer ces…