Gwada dada

gwada gwada L’ampleur des conséquence de ces changement sur les prix et la quantité équilibre dépend de la forme des courbes d’offre et de demande ce qui revient au même de la sensibilité de l’offre et de la demande au prix .
Lorsque le prix des facteurs de production diminue cela entraine une baisse du coût de production et une hausse de perspective de profit et cet ensemble crée une hausse del’offre.
Le prix de travail augmente brutalement—>hausse des coût de production—> baisse du profit , l’ensemble entraîne une baisse de l’offre .
On découvre de nouveau gisement d’énergie —> baisse du prix de l’énergie et baisse des coL’énergie nucléaire représente 7 % de la consommation mondiale d’énergie primaire et 15 % de la production mondiale d’électricité, ce qui peut paraîtremodeste. Son poids est en revanche sensiblement plus élevé dans les pays industrialisés, puisqu’elle fournit 20 % de la production d’électricité aux Etats-Unis, 28 % en moyenne dans l’Union européenne, 30 % au Japon et près de 78 % en France. Les centrales en construction se trouvent en Asie principalement (Chine et Corée), et il existe des projets dans de nombreux pays en développement.
L’énergienucléaire a toujours été perçue avec crainte par l’opinion publique, et cela tient à la nature militaire de ses premières applications. Beaucoup de gens ignorent qu’il existe aussi une radioactivité naturelle et que l’éruption d’un volcan génère elle aussi des rejets radioactifs. Le drame japonais rend plus que jamais nécessaire un débat serein sur les atouts et les faiblesses de cette sourced’énergie.
Les défenseurs du nucléaire mettent en avant le fait qu’il s’agit d’une technologie de pointe qui contribue largement à notre indépendance énergétique et permet à la France de bénéficier d’un prix de l’électricité 30 % plus faible que la moyenne européenne. Le kWh nucléaire présente en outre l’avantage d’être peu sensible aux fluctuations du prix de l’uranium, puisque cette matière première nereprésente que 5 % à 6 % du prix de revient du kWh. Avec une centrale thermique fonctionnant au charbon ou au gaz, la part du combustible représente 65 % à 75 % du prix de revient du kWh.
Mais il ne faut pas confondre dépendance et vulnérabilité, et les opposants au nucléaire font observer que cette indépendance énergétique est acquise au prix de risques potentiels élevés. C’est le risqued’accident sur un réacteur, mais aussi celui lié à la gestion de déchets radioactifs de forte activité et à la vie longue.
Le drame japonais nous conduit d’ores et déjà à tirer plusieurs enseignements.
La façon dont la crise sera gérée sur le plan de la communication va être déterminante pour l’avenir du nucléaire dans le monde. Il ne faut pas rééditer les erreurs de Tchernobyl : les risques ne doiventêtre ni sous-estimés ni passés sous silence.
L’industrie nucléaire est sans doute l’activité humaine qui a le plus investi dans la sécurité, mais l’expérience récente montre que les accidents les plus improbables peuvent aussi se produire. Certains risques sont au demeurant moins bien acceptés que d’autres par l’opinion publique. Cela aura deux conséquences : il va falloir investir davantageencore dans la sécurité des réacteurs, et l’option d’un nucléaire low cost sera demain difficile à défendre. Il n’est pas question de rogner sur les redondances en matière de sûreté et cela rend légitime le surcoût affiché par l’EPR, dont la sûreté est plus grande que celle des réacteurs actuels de deuxième génération. Davantage de sûreté est coûteux et cela aura, à terme, un impact sur le prix du kWh.Les autorités de sûreté nucléaire vont probablement être plus vigilantes et plus exigeantes avant d’autoriser l’allongement de la durée d’exploitation des réacteurs actuellement en service.
La crise actuelle va entraîner de nouveaux moratoires, voire des abandons, dans des pays qui s’apprêtaient à investir à nouveau dans le nucléaire. La relance du nucléaire aux Etats-Unis (aucun réacteur…