UE 35 Année 2009/2010
BIBLIOGRAPHIE CRITIQUE :
Fiche de lecture 2
L’EGYPTE ANTIQUE
THEME CHOISI : Caractéristiques des temples de l’âge de pierre aux temples ptoléméens
ŒUVRES RETENUES
KARNAK D’EGYPTE, Domaine du divin, par J. LAUFFRAI, Paris, Editions du Centre National de la Recherche scientifique, 1979, 245 pages
Résumé sommaire
Karnak d’Egypte est le résultat de 12 ans derecherches et de travaux scientifiques et archéologiques dans la région de Thèbes plus précisément sur le site de Karnak, le site « caché ». Cette étude a pu exister grâce à la coopération Franco-Egyptienne organisée en centre franco-égyptiens d’étude des temples à Karnak et aussi grâce à la création d’une mission permanente dirigée par l’architecte chercheur français J. Lauffray.
Une préface deCh. Desroches Noblecourt (conservatrice en chef du département des antiquités égyptiennes du musée du Louvre) nous explique la démarche de cette ouvrage puis dans l’avant propos J. Lauffrai nous parle de cette aventure les difficultés à réunir des fonds des personnes, comment il a été choisi… et remercie la plus-part de ses collaborateurs dont on retient les principaux : Serge Sauneron, RamadanSa ’ad (architecte)
« Karnak domaine du divin », Nous allons commencé cette fiche de lecture par les chapitres I et II qui représente déjà le plus gros de la compréhension du site en effet ces deux premiers chapitre sont censé nous donné des repérages topographique et architectural (exemple superposition de Notre-Dame de paris avec la salle hypostyle de Karnak qui peut nous donner une certaineéchelle du site si l’on connait Notre-Dame. Je dis bien « censé » car en effet le deuxième chapitre se basant sur les principales étapes de construction du temple d’Amon et leur chronologie ; est très difficile à comprendre et nécessite plusieurs lectures et un second plan détaillé du site en parallèle. On remarque pour cela que le livre est très bien illustrer de plan, gravure mais que celles-cicomme souvent dans la plus part de ces livres se trouvent a des pages, plus lointaines (photo 66 se situant à la page 89), et donc on a peine a comprendre le fil conducteur du livre tant on se perd a chercher les illustrations. Ces pour cela que pour la description du temple d’Amon qui est le plus grands temple de l’Egypte ancienne et qui balaye à lui seul 2000 ans d’histoire j’ai préféréjuxtaposer un second plan provenant d’un autre ouvrage (Voyage en Égypte ancienne de J-C Golvin ; fiche de lecture 1).
Le temple d’Amon vit le jour vers 2180 av J-C ; Le culte d’Amon naissait, Thèbes était une modeste bourgade mais riches car proche des mines d’or et à l’écart des ennemis ; durant la période intermédiaire nait le culte d’Amon et Thèbes devient la capital du premier Empire sous AmenemhatI en 2000 av. J-C. Le dieu Amon qui était vénéré devient donc dieu dynastique et est assimilé au dieu le plus puissant le dieu soleil Ré (Amon – Ré)
On entre donc dans une description historique du projet et l’auteur architecte archéologue scientifique nous l’explique mais il n’aura de cesse de prouver toute découverte en explicitant comment ils savent que tel temple appartient à telle périodece qui parfois est déroutant tant les justifications sont longues ou bien sont découvertes plus tard que la période traité.
Le sanctuaire le plus ancien est la cour du Moyen Empire érigé sous l’ancien empire. Mais le temple pris toute son importance après le départ des Hyksos qui avaient envahis toute l’Egypte excepté Thèbes qui est donc devenu la capital de l’empire et donc la naissance légitimedu sacre du Dieu Amon Ré en un temple fastueux perpétuellement en devenir.
L’auteur expose la difficulté à comprendre la 1ère déambulation du temple et sans pouvoir discerné le plan avec de multiples pillages de pylône en moellons, de cartouches et dessins muraux, de plus il montre que vu la difficulté des imbrications des différentes époques de construction sur le site, le lecteur doit sans…