Dans chacun de ces textes, le narrateur porte un regard critique sur les personnages.
Il faut bien distinguer chaque critique, car chaque narrateur n’attaque pas le même aspect.
Dans MadameBovary, ses propos mettent en evidence l’hypocrisie et l’importance que les invités accordent au paraitre : Il commence à la ligne 19, où, bien qu’incommodés, les enfants sont forcés de s’habiller commeleurs pères, pour creer une pseudo-harmonie. Puis, toujours pour plaire a la vue des autres, la plupart des invités sont attaqués. Les fillettes de 14 ou 16 ans, à qui les parents ont rallongés lesrobes blanches pour la circonstance (L22-23), ainsi que leurs cousines et leurs soeurs ainées, qui font très attention à leurs apparance, ayant peur de salir leurs gants (L25), et n’hésitant pas àgraisser leurs cheveux de pommade à la rose (L24). Ensuite, ces messieurs que retroussent leurs manches pour dételer toutes les voitures dans l’optique de plaire à leurs hôtes sont provoqués. Puis, a la finde l’extrait, le narrateur insiste plus particulièrement sur les petits efforts qu’ont déployés chaque invité pour perfectionner leur apparence : Ceux qui bombent leurs chemises comme des cuirasses(L41 : Comparaison), les autres qui se sont coiffés uniquement pour l’evenement (L42 : métaphore), et ceux n’hésitant pas à se mutiler pour cela (balafres en diagonale sous le nez, pelure dépidermeslarges comme des écus…. L45-46 -> comparaison)
Le texte de Zola présente des personnages « forcés » d’admirer les oeuvres exposées au Louvre, bien qu’il n’y trouvent aucun interet. On peut parler icid’une critique de l’ininteressement. Ces invités qui se cassent le cou, mais qui ne voient pas (L7), qui, interieurement, osent des appréciations peu réfléchis telles que la betise de ne pas écrire lessujets sur les cadres (L14), la ressemblance entre la Joconde et un proche (L15), ou les ricanement à la vue de nus (16). Bien entendu, toutes ces remarques appartiennent à des individus qui…