Essai

Dans un café de paris, aux alentours de Montmartre, j’ai fais une rencontre, une belle rencontre. Nous ne somme pas parlé mais nous nous sommes dit avec le regard plus que tous les mots peuventexprimer. C’était un dimanche après midi, vers quatorze heure, je descendis de chez moi ne trouvant rien de mieux à faire que de flâner dans les rues de Paris. Les badauds, de part cette magnifique journéeabondaient dans les rues du quartier des peintres. Un mendiant à l’accordéon dérangeaient les dames de la haute société venue chercher réconfort auprès d’un thé, un couple d’amoureux, sous unmagnifique marronnier s’embrassaient comme si il était seuls. La liberté émanaient d’eux, il semblaient débarrasser de la honte typiquement humaine. Deux « chibanis » refaisaient le monde avec un point devue de sexagénaires, leur casquette sous le bras, au milieu d’un groupe de touristes anglais qui prenaient des photos de la vue plongeante. Des enfants couraient, jouaient, s’amusaient d’un rien. Auabord du Sacré-Cœur, se tenaient un charmant bistro quartier, ou tous les anciens d’Algérie ou même de 39-45 venaient se réunir, discutant et riant autour d’un café ou d’une bière. J’y venaitrégulièrement pour écouter et prendre note des propos de ces anciens. Ce jour, un parfum inhabituelle habitait le lieu. Je me retourne, laissant refroidir mon café, à trois tables de moi se trouvaient unedemoiselle d’environ vingt cinq-vingt six ans. Son parfum rappelle un rosée d’été se déposant sur la lavande des haut plateaux aquitain. Elle lisait « Les mots » de Sartre. Vêtue modestement, mais le portantavec splendeur et éclat, elle portait un béret typiquement parisien de travers. Elle était blonde, d’un blond vénitien; elle avait le teint frais, un peu pale, les lèvres légèrement rosées par lachaleur du café qu’elle buvait. De temps à autres, elle levait la tête, laissant apparaitre ses magnifiques yeux émeraudes, dans lesquels on aurait pu se perdre tel leur éclat égalait celui des…