Violences urbaines

Violences urbaines

2010-2011 2nd GT.
I . Introduction

1 . Mots clefs :

– Violences urbaines: troubles à l’ordre public qui voient la violence s’exprimer dans une ou plusieurs villes, dans un ou plusieurs pays .
– Violence:
* faire violence : agir surquelqu’un ou le faire agir contre sa volonté, en employant la force, l’intimidation, etc.
* se faire violence : s’imposer une attitude contraire à celle qu’on aurait spontanément.
* la violence : force brutale pour soumettre quelqu’un .
* une violence : acte par lequel s’exerce cette force. Des violences physiques, morales, sexuelles, coupset violences, violences conjugales, coup et blessures d’une personnes sur un conjoint, l’enfant qui subit ou a subit des violences.
– Urbain : de la ville, de ses habitants.

II . Problématique
1) Qu’appelle t’on violences urbaines ?
2) Pourquoi ?
3) Ou ce trouvent t’elles ?
4) Comment lutter ?

III . Plan
I. la violence urbaine un fait courent .
II. Les causes del’apparition de ces violences
III. les principales cibles.
IV. Lutter s’avère difficile.

I. la violence urbaine un fait courent.
La violence urbaine est un fait courent dont il ne faut pas minimiser l’ampleur. En effet depuis quinze ans, la violence urbaine est en très nette augmentation. Ces actes de violences traduisent une cassure et une aggravation des inégalités engendrés par lacrise.
Le bilan reste tout de même inquiétant car même si les effractions sur les voitures et les cambriolages diminuent, les violences contre les personnes augmentent.
Cette situation crée un sentiment de peur et une réaction émotionnelle car elle mêle à la fois médiatisations et représentations, jeunes et adultes, exclusion et citoyenneté, politique et enjeux politiques.

II. Les cause del’apparition des ces violences.
Si les explosions de violences urbaines sont souvent déclenchées pr des rumeurs de bavures policières ou par quelques abus d’autorité tels que des fouilles considérées comme injustifiées, les dégradations et agressions commises plus généralement par les jeunes dans l’espace de la ville ont plusieurs causes croisées qui deviennent souvent leur conséquence dans unesérie de cercles vicieux engendrant une paupérisation .
– Une situation familial critique telle que la monoparentalité. Cette dernière autoriserai le relâchement du contrôle parental sur les jeunes, ce qui est d’autant plus critique en France qu’ils ne peuvent compter sur une surveillance efficace du voisinage ou de la communauté, contrairement ce qui ce passe au Etats-Unis .
– l’échecscolaire, qui peut lui-même découler de la crise familiale. Ainsi, aujourd’hui, la violence telle qu’elle surgit dans les établissements scolaires trahirait un rejet de l’institution, surtout par les élèves en situations d’échec scolaires, qui lui reprochent les humiliations subies. Les difficultés scolaires et dans l’insertion professionnelle sont mal ressenties par la deuxième génération del’immigration, qui aspirait à un meilleur statut que ses parents et peut trop rarement concrétiser ce espoir; ceux qui réussissent quittent le quartier. De fait, un certain nombre de chercheurs voient dans la massifications des effectifs scolaires et dans la prolongations des études qui ce sont opérées dans un contexte de chômages élevé les causes d’une perte de sens qui a engendré la violence accrue desquartiers.
– le chômage, qui se nourrit lui-même de l’échec scolaire. S’il peut engendrer la violence, celle-ci le favorise en retour, en créant des discriminations territoriales a l’embauche, ou tout simplement en détruisant les biens qui servent à créer de la valeur, et donc des emplois. La stigmatisation du chômage en tant que source de la violence est cependant contestable, notamment…