Roman on tuera tout les affreux

Au lendemain de la guerre, les gens recommençaient à vivre, ils faisaient maintenant partit de la révolution nouvelle qui était surtout fondée sur le plaisir et la révolution. L’auteur Boris Vianécrit son roman et on tuera tout les affreux dans ces années et nous le démontre bien, car il fait partit du courant du surréaliste. Sa dernière date publication fut en 1996. Dans le texte suivant, nousallons vous démontrer comment le Roman de Boris Vian aborde les thèmes surréalistes de la révolte et de la fascination face aux femmes. Nous aborderons les sujets de la révolte des personnages ainsique de la fascination que Rocky a envers les femmes.

En premier lieu, nous avons pu apercevoir tout au long de l’histoire beaucoup de révolte des personnages, particulièrement celle du docteurSchutz et de Mike. Tout d’abord, lors de la première rencontre avec le Docteur, Rocky et Mike ont découvert que M. Schutz a énormément de difficulté avec la laideur. Il essaie d’éliminer tout ce qui estrempli de défauts de sur son chemin. La citation suivante la présente bien : « Les gens sont tous très laids, … , on ne peut pas se promener dans la rue sans voir des quantités de gens laids? J’adoreme promener dans la rue, mais j’ai horreur du laid.»Dans cette citation, l’auteur utilise la ponctuation comme procéder langagier, d’interrogation. Le point d’interrogation sert à amplifier le mot laidqui veut dire qu’il y a juste cela dans la rue, des gens qui sont remplis de défauts, s’il existait un endroit où il n’y a pas d’affreux. Le docteur Schutz s’oppose à la réalité et veut créer sonpropre monde. Ensuite, nous avons la révolte de Mike que ce fait sentir a la fin du roman. La réaction que Mike a face aux femmes nous met sous le choc. Il ne veut plus rien savoir de ce qui concerne labeauté, il en a trop vu, il veut maintenant de la laideur. La citation suivante le prouve bien : « Je suis déçu…dit Mike. Ces femmes me dégoûtent… Je vais me chercher un gros singe bien faisandé. »…