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Acte ll, scène 5
(wers 631 à 664)
HpÉor-rre.
Je vois de vofre amour I’effet prodigleux.
Tout mort qu’il est, Thésée est présent à vos yeux Toujours de son amour votre âmees[pmbrasée.
PsÈonn.
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Oui, Princg je languis, je brûl.e pour Thésée. æs Je l’aimg, nonpoint tel que l’ônt vu les enfeis, Volage adôrateurde m;.ie objets’ divers, Qui va’ôu Dieu des morts déshonorerla couche ; MâisfidèQ maisfier, et même un peu farouche, Charmant, jeurn, raînant tous les cæurs après soi, oao Tel qu’on dépeint nos Dieux, ou tel queje vous voi. Il avait votre port, vos yeu(,vo@langage, Cefrg nob[gpudeur colnrait son
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CÈte il traversa les flots,
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Malgré tous les détoun desa vas@retaite’. Pour en dévglopper l’ embarras incer{ain’, #plâf%Jvle-qcegq -du fil@ls{.ggé-yft maiqr’ Mais non, dans ce dessein je I’aurais devancée ; L’amourm’en ett d’abord inspié la pensée. 6ssC’est moi, kincç. c’est moi dont I’utilgsecours Vous ett du kbyrinthe enseigné les d4ours. Que de sglrs’ m’eût coûtés cetbJêtecharmanæ ! Un fil n’èûdpointassez rassuré v-o@ anan&, ». .* .^ifr S: àt !Compagne du péril qu’il noos fuilril »tât
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II*Rpolyæ, l’éliÉ’?i t t Pourquoi, trop jeune encoa nelptçg+ous Aorp. ». Enfrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bont$ ?i . Par vous @itÉri lemonstEde la Crèæ ;– d t’ni l’dt,’,*qque faisiez-vous alor{ t)eourquoi, sans Oes neros de la Grèce Ésembla-çil
.’Dtgr.rç._sUipI_des-vçg{-{ej »ûIE*.de,4i[o_q
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I »r,æo Moimêmgdevant vous j’aurais voulu marcher; Et Phèdre au l-abyrinihe avec vous descendue
Se seraitavec vous retouvée, ou perdue.
Hppor-yre.
Deux ! qu’estgzjue j’enbnds ? Madame,oubliez-vous Que Thésée est mon Ère, et qu’il est voue époux ?
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