Castration ? renoncer aux attributs des sexes
Le petit garçon interprète la castration comme menace : celle d’une autorité paternelle réprimant la sexualité. Ce complexe de castration survient donc au sortir de l’Œdipe, comme renoncement à l’objet maternel et comme marquant le début de la période de latence et de la formation du surmoi. Des auteurs postérieurs à Sigmund Freud ont cependantcompris le surmoi comme instance bien plus précoce.
L’angoisse de castration va permettre au garçon de sortir de l’oedipe ? donc renoncer à l’amour incestueux envers la mère! et de passer de la rivalité pour le père à une identification de celui ci !
La petite fille interprète la castration comme ayant eu lieu, et se doit donc de la réparer. Ce moment, l’envie du pénis, marque alors l’entréedans l’Œdipe.
Différences des sexes ? croit qu’il va pousser ? va se tourner vers le père susceptible de lui en procurer un (une envie d’enfant fait avec le père)–> d’où sentiments oedipiens avec le père et sentiments de rivalité avec la mère !Ce complexe de castration précipite l’entrée dans l’oedipe !
Il est plus difficile pour la fille de sortir du complexe d’oedipe et s’identifier à samère et en renonçant aux sentiments amoureux pour son père !
Le complexe d’oedipe–> renoncer à conquérir l’un des parents….
Hystérie : 2 points de fixation ? stade oral montrant des difficultés de séparation d’avec l’objet. Acceptation de la différence des sexes à été impossible, difficile au stade phallique ce qui est fait un deuxième point de fixation ! Identité sexuel mal constitué, nevoulait pas renoncer aux attributs d’aucun des deux sexes.
Névrose obsessionnelle : point de fixation au stade sadique-anal avec cristallisation autour des activités rétention d’opposition–> avarice, désir de maîtrise !
La psychose ne passe pas par le complexe d’œdipe
Astructuration : Etats limites, perversion, psychopathies : développement en commun avec la névrose mais le complexed’œdipe n’a pas suffisamment été résolu
L’angoisse de séparation et de perte d’objet
Pour elle, au départ de la vie, il n’y a pas d’indifférenciation moi-objet comme pour Freud (narcissisme primaire), car selon Mélanie Klein la perception du moi et celle de l’objet existent depuis la naissance,et l’angoisse est une réponse directe au travail interne de la pulsion de mort. Cette angoisse prenddeux formes d’après elle : une angoisse persécutrice qui appartient à la position paranoïde-schizoïde, et une angoisse dépressive qui appartient à la position dépressive.
On peut la vivre soit sur un mode paranoïaque, dans la mesure où l’objet devient méchant et attaque, soit sur un mode dépressif où l’objet reste bon et il y a angoisse de perdre le bon objet plutôt qu’angoisse d’être attaqué parle mauvais objet»
Dans la position paranoïde-schizoïde, l’angoisse qui prédomine à ce stade est que le persécuteur ne détruise à la fois le moi (self) et l’objet idéalisé. Aussi, pour se protéger de cette angoisse, le moi utilise des mécanismes schizoïdes tels que le renforcement du clivage entre l’objet idéalisé et le mauvais objet, ainsi que l’idéalisation excessive et le déniomnipotent utilisés comme défenses contre les peurs de persécution.
Dans la position dépressive, les angoisses surgissent de l’ambivalence. Le nourrisson a surtout peur que sa haine et ses pulsions destructrices anéantissent l’objet qu’il aime et dont il dépend entièrement. La découverte de sa dépendance par rapport à l’objet – qu’il perçoit comme autonome et capable de s’en aller – augmente en lui le besoinde posséder l’objet, de le conserver au-dedans de lui et, si possible, de le protéger contre sa propre destructivité.
Si le nourrisson est mieux intégré, il peut se souvenir de l’amour pour le bon objet et le conserver lorsqu’il le hait. La mère est aimée et le nourrisson peut s’identifier à elle, sa perte est alors cruellement ressentie et une nouvelle gamme de sentiments apparaît. Dans…