Dans la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui et dans laquelle nous avons vécu autrefois, plusieurs similitudes à l’égard du comportement humain peuvent être constatées. Notamment, l’aspect du stress chez l’homme a toujours été présent, la façon dont nous agissons face à une situation mettant notre conscience en avant plan, les gestes que nous posons lorsque nous nous retrouvons enposition de soumission, etc. Il y a également l’aspect d’obéissance envers l’autorité qui a suscité beaucoup d’intérêts auprès de nombreux psychosociologue tel que Stanley Milgram et qui suscite toujours notre intérêt de nos jours. En réalité, ce qui nous intéresse vraiment est le fait qu’un problème d’aussi grande envergure à l’échelle de toute la société humaine de notre monde actuel soit si constantet persistant que touchant tous les individus de la planète. Cette grande problématique est en partie causée par la manière dont l’homme agi face aux ordres donnés par l’autorité et également par l’influence, les pressions et les effets de groupe de notre société humaine.
Parlons un peu d’Eichmann, un homme tout à fait normal qui avait le pouvoir sur diverses décisions contribuant àl’extermination des Juifs. Pour lui, le fait de poser des décisions déterminantes sans avoir à faire et voir les Juifs face-à-face, a mené sa conscience à agir bien que c’était dégueulasse et immonde. Autrement dit, il s’en lavait les mains. Sous le régime nazi, nombreux obéissaient à leurs grands patrons, même si les ordres donnés allaient à l’encontre de leur conscience. Bref, bien qu’ils étaientconsciencieux, mais sans conscience, ils ont agis non par méchanceté, mais par obéissance : par fidélité au chef, par soumission à l’autorité, et aussi par devoir pour l’État. Nous savons bien que le conformisme y est pour beaucoup aussi. Que serait-il passé s’ils avaient mis leurs culottes et auraient désobéis? Probablement que l’orgueil humain n’est pas assez fort dans ces circonstances et que laconscience humaine, bien qu’elle soit toujours présente, se trouve à être échelonner par l’obéissance. Bien que normaux soit les individus posant ces gestes terribles, bien qu’ils aillent leurs propres valeurs pour pousser la conscience à l’avant plan avant de commettre un geste; les pressions de groupe ainsi que le naturalisme d’obéir aux plus hauts placés prennent malheureusement le dessus. Et c’est làle problème. Là est l’enjeu, le danger de notre société. Quiconque peut commettre un désastre. S’agit juste qu’il ne tienne pas compte des ses valeurs et n’écoute pas la voix de sa conscience vraiment. Bref, l’heure est grave.
Si nous regardons les expériences de Milgram, il tente de voir si l’individu peut belle et bien désobéir aux ordres à cause que leur gros bon sens prend le dessus.Milgram essaye de voir l’heure juste sur la désobéissance face à plusieurs contextes et situations proposés dans ses expériences. Son souhait et sont hypothèse étaient que le monde constate que c’est immorale de donner des chocs électriques à quiconque, et qu’ils arrêtent aussitôt d’obéir aux ordres. Tel est ce que tous pensaient voir en faisant ces expériences. Par contre, tout le contraire s’estproduit. Il est désastreux de voir que des personnes normales de notre monde, de notre milieu, soient capables de se soumettre à l’autorité et donner des chocs à une victime innocente. Où sont passées nos valeurs morales? Écoutons-nous réellement notre conscience quand ça n’a pas de sens? Sommes-nous des moutons? Si notre ami va se jeter en bas d’un pont, allons-nous faire pareil? Énormément dequestionnements et gros est le constat.
Nous avons remarqué que les humains sont capables de faire peu et beaucoup à la fois. Contradictoire comme remarque? Eh bien non. L’homme d’aujourd’hui a en sa possession la capacité de faire de grandes choses. Bonnes et mauvaises. Lors des séances d’expérimentation, les individus étaient placés dans des situations diverses pour varier les contextes dans…