Grands systèmes politiques – échec de la transition démocratique en côte d’ivoire (plan détaillé)

L’échec de la transition démocratique en cote d’ivoire
Introduction La transition démocratique (1990-1994)

Caractère massif et la concordance de cette phase de démocratisation En Afrique subsaharienne 40 Etats sur 49 entre en processus de démocratisation entre 1990 et 1994.
Il y a un ensemble de traits communs mais chaque pays possède sa trajectoire propre (dont la diversité des points dedéparts). On réduit trop souvent l’Afrique à une réalité continentale partagée.
Des points de départs différents : certains pays parte d’une base déjà sur la voie d’une démocratisation alors que d’autre partes d’un régime autoritaire contesté.

Le « vent de l’Est a t il secoué les cocotiers » (J. Pelletier) ? Certains auteurs pensent que l’effondrement du communisme aurait poussé desdirigeants africains à se dire que ce destin pourrait être le leur. Ce raisonnement n’est donc valable que pour les pays qui puisaient leur existence politique dans l’affrontement Est/Ouest. C’est la théorie des dominos.
Limite : le retrait de la puissance tutélaire aurait aussi bien pu créer un conflit unitaire interne (guerre civile) et pas seulement une transition démocratique.

Démocratisation pardes politiques de Conditionnalité :
Les puissances tutélaire ont très souvent continuer à jouer un rôle après leur retrait (ex : la France). « Discoure de la Baule » (1990), Mitterrand idée que les puissance tutélaire ont jouées un rôle important dans la transition démocratique de leur ex colonies, notamment avec la politique de conditionnalité, c’est à dire que désormais le soutient français nesera plus accordé que sous condition notamment d’un processus de libéralisation et de démocratisation (mais il semblerait que ce discoure ait eu pour effet une rupture des politiques diplomatique occidentale).
Le FMI et la BM se sont elles aussi réorientées vers la conditionnalité (contrainte de réorientation des politiques économiques des pays les plus nécessiteux, voir même de leur formed’organisation politique.
Limite : Pas de réelle effectivité, ces politiques n’ont pas été respectées par ceux qui les réclamaient + Derrière cette idée on voit le continent africain comme une sorte de jouet (réalité informe) et les acteurs qui lui donneraient une forme serait extérieur au continent africain (bonne volonté des occidents si échec c’est la mauvaise volonté des africain, donc jugement devaleur).

I. L’échec démocratique en Cote d’Ivoire, la remise en question de l’universalition de la démocratie.

A. Une transition démocratique qui n’a pas réellement eu lieu en Cote d’Ivoire

Transition réussie = des gouvernements en place peuvent être sanctionné par les électeurs par des changements de gouvernement.
Fausse transition = bien souvent les tables rondes conclues auparti unique.

Bilan de ces expériences désenchantement (dans la plupart des cas les transitions n’ont pas débouchée sur une alternance).
Il y a en effet eu confirmation des gouvernements en place (campane malhonnête, élection truquées..).
1999 : On ne recense que 7 cas sur 40 de transition démocratique avec alternance (et 19 transitions sans alternance).
Bilan général négatif qui introduitau début des années 2000 à un retour de l’afro-pessimisme (critique : on enferme l’Afrique dans une fatalité).

Mauvaise utilisation de la démocratie : dans certain pays la transition a été détournée de son objectif initial et utilisée par les élites au pouvoir pour mieux conserver ce pouvoir.
Dans certains pays : retour à un partit unique.

B. La démocratie peut elle être universelle, une« exigence commune à tous les êtres raisonnables en tant que tel » ?
a. Oui Fukuyama (universitaire américain) pense que la démocratie peut s’imposer partout dans le monde. Pour lui « la démocratie est la seule aspiration politique cohérente qui relie différentes régions et cultures autour de la Terre ».
Pour F on va vers une généralisation de la démocratie qui selon lui alimente la…