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indirecte, au contraire, déploie un ensemble de procédés rationnels et oratoires que l’on doit mettre en oeuvre pour tenter de faire admettre par le lecteur une thèse probable, plausible,vraisemblable. On l’appelle indirecte car elle utilise d’autres moyens que le pur raisonnement logique, par exemple un dialogue, ou encore un récit.
Dans le texte d’un auteur les deux aspects, convaincre etpersuader, sont, le plus souvent étroitement imbriqués. Ils se distinguent en ce que celui qui cherche à convaincre se tourne vers tous (universalité) et celui qui cherche à persuader s’adresse àl’émotion, aux sentiments, c’est à dire à chaque lecteur comme à un lecteur particulier.
Exercice possible: reprendre le discours de Madame de la Sablière et repérer ce qui relève du raisonnement logique(argumentation directe) et ce qui relève de la persuasion (argumentation indirecte)

Si on argumente c’est que la thèse ou la détermination d’une conduite ne s’impose pas par un raisonnementdéductif et nécessaire. Il s’agit d’utiliser des procédés pour entraîner, pour persuader. (exemple, Les animaux malades de la peste )

Délibérer. Classiquement on distingue dans l’acte volontaire troisphases indissociables.
– La conception
– La délibération
– La décision

La conception est l’idée que l’on a, qui entraîne une affirmation théorique ou une détermination pratique (ce que je doisfaire).
Exemple: je quitte le lycée un mois avant le Bac pour réviser.

La délibération, consiste à « balancer », peser les raisons pour et les raisons contre d’agir ainsi.
Exemple: D’un côté il estpréférable de terminer le programme dans une ambiance studieuse/ d’un autre côté ce sera peut-être plus efficace de bien revoir avec attention et sans distraction (!) , à la maison.

Si cette « pesée »qui permet une comparaison des motifs de se déterminer ou de ne pas se déterminer, met en évidence la supériorité du pour ou celle du contre, délibérer peut aboutir à une décision. On coupe court,…