La mort intime

TITRE DU LIVRE : LA MORT INTIME
Edition Robert Laffont, S.A.
Paris, 1995 ( Pocket)

ECRIVAN : MARIE DE HENNEZEL, titulaired’un D.E.S.S. de psychologie et d’un D.E.A. de psychanalyse, a travaillé pendant dix ans dans la première unité de soins palliatifs de France, créée en 1987 par le Dr Abiven à l’hôpital international dela Cité Universitaire de Paris. Elle anime des conférences et des séminaires de formation à l’accompagnement de la fin de vie, en France et à l’étranger.

PREFACE :

Ecrit par M. FrançoisMitterrand, qui parle du livre comme une leçon de vie, une lumière intense, puisque ce livre propose un «témoignage la plus profonde des expériences humaines ». Que le livre représente avec simplicité undialogue entre l’écrivain et ses malades, sur leurs angoisses, leurs espérances et leurs souffrances.
Il raconte le souvenir de sa visite à l’unité de sois palliatifs et témoigne de la douceur qu’émanaitde la parole de l’équipe de médecins et des infirmières, envers les malades. En visite aux malades, il a constaté leur sérénité, la paix dans leurs regards et que chaque visage a marqué sa mémoirecomme le visage même de l’éternité. « Tout est la, en peu de mots : le corps dominé par l’esprit, l’angoisse vaincue par la confiance, la plénitude du destin accompli ».
Il dit que : « peut être le plusbel enseignement de ce livre est que la mort peut faire qu’un être devienne ce qu’il était appelé à devenir ; elle peut être, au plein sens du terme un accomplissement ».

OBJECTIF DE L’ECRIVAIN:« LEVER LE TABOU SUR LA MORT ET LUI RENDRE SA PLACE AU CŒUR DE NOTRE VIE »

Marie de Hennezel, raconte dans ce livre, ses années d’expériences comme psychologue et comme être humain, auprès demalades en fin de vie à l’unité de soins palliatifs, à l’association d’aide aux malades du Sida (créée par elle) et à des amis personnels.

Elle commence son livre en disant que : « On cache la mort…