La nature à fait l’homme bon mais la société le déprave

Français : Rédaction d’une dissertation

« La nature a fait l’homme heureux et bon mais la société le déprave et le rend misérable »
Jean-Jacques Rousseau

De nos jours, nous voyons de plus en plus l’impact de notre société de surconsommation sur les comportements humain. Notre société ôte beaucoup de qualités que la nature nous a octroyées, cela Jean-Jacques Rousseau l’avait déjà biencompris à son époque, au XVII éme siècle. Il affirma même que : « La nature a fait l’homme heureux et bon, mais la société le déprave et le rend misérable ».
Je tenterai de montrer, à partir de cette citation que j’émaillerai de quelques exemples, que l’environnement d’un être humain peut, avec le temps, le pervertir ou le rendre meilleur. Je présenterai ensuite mon point de vue sur la question entranchant en faveur de l’une de ces deux possibilités.

Tout d’abord, je commencerai en allant dans le même sens que Rousseau, c’est-à-dire en montrant que la société nous pervertie. En effet, prenons l’exemple d’un bébé, il est l’incarnation de la pureté même, c’est le fruit de la nature tel qu’elle l’a créé, sans aucune perversion. Les choses simples comme une grimace, un bruit, un jouetsuffisent à le rendre heureux.
Nous pouvons aussi comparer les bébés aux sociétés primitives comme celles se trouvant en Amazonie, ou les Tsatan en Mongoli. Ces dernières vivent indépendamment de nous, elles ont accès à certaines technologies, à l’éducation mais n’ont pas besoin d’entrer en contact avec notre société, du moins pas pour ce qui est de notre société de surconsommation. Ces tribus sesuffisent à eux même, n’ont pas besoin d’aide extérieur, chaque membre a des taches bien précise. Elles vivent dans la prospérité. Mais dès qu’elles touchent à l’argent, qu’on leur montre ce qu’est l’économie et le capitalisme elles y deviennent dépendant et ne peuvent plus s’en passer, cela engendre une sorte de compétition. A partir du moment où nous nous rendons compte du pouvoir de l’argent nousen voulons toujours plus. Et cela à n’importe quel prix, certains serait même prêt à tuer. De plus notre société est stressée par ce qu’on appelle le boulot-métro-dodo. Dans ce cas-ci prenons un stéréotype mais qui est bien plus vrai que nous le pensons. Un proverbe africain dit : « Vous les européens vous avez l’heure, mais nous les africains nous avons le temps ». C’est bien vrai, sans aucunstress la vie est beaucoup plus appréciable. Je suis pratiquement sûr que ces tribus sont bien plus heureuse que nous sans devoir se soucier du fait de devoir absolument rentrer à la maison avec de l’argent, devoir faire le devoir des gosses, faire à manger, coucher les enfants, etc. Tout ceci prouve bien que notre société nous pervertir et nous fait perdre la plupart des qualités que nous aprocurées la nature. Au naturel, à l’état de bébé ou bien sans contact avec la société nous préservons ces qualités.
Toutefois, vivre en société n’a pas que des points faibles parfois la vie en société est nécessaire. Regardons un ermite qui a décidé de vivre seul, coupé du monde. Il s’isole de la société et finit par se renfermer sur lui-même, perd ses règles de bonnes manière, ne fait plus attention àla façon dont il s’habille. Personne ne compte pour lui et il ne compte pour personne. Se cacher comme il le fait n’est pas bon n’ont plus, il finira par arriver à une certaine débauche. Cette corruption n’est pas due à la vie en société mais plutôt à l’inverse, à ce comportement reculé. Par ailleurs, Zola avait déjà spéculé de son temps sur le fait que la société ne fait qu’accentuer ou allégernos défauts. Il a démontré qu’il y avait une part d’hérédité dans nos tars et qu’elles se transmettaient de générations en générations. Ce qui veut dire dans ce cas-ci que la nature ne nous a pas faite parfaitement heureux et bon, puisque selon Zola un tueur en série, un violeur ou un homme qui bat sa femme transmettra cela à son fils dès la naissance.
Pour ma part, je pense qu’étant que nous…