La religion

La Religion

Intro :
Religion < « religare » : Relier à (Dieu)
< « religere » : recueillir, rassembler.
C’est un système de représentation des rapports de l’homme avec la transcendance, ou des forces qui dépasses des le monde immanent. C’est grand système de représentation, de croyance de rite et de pratique façonne l’esprit des peuples et sont les piliers de toutes les fonctionsd’une civilisation. C’est parce que la religion est à la base de la culture qu’aucun peuple ne la pensée séparable de la vie sociale. Il en fut longtemps ainsi en France jusqu’à la modernité, ce n’est qu’en 1905 que fut prononcé la séparation des églises et de l’état, la laïcité devenant ainsi la nouvelle instance morale civique instaurant une forme de neutralité dans la sphère publique, le caractèreprivé de la conscience religieuse est un acquis irréversible sans pour autant nier la dimension communautaire de toute expressions religieuse.
Si les Grecs parlaient de piéter vis a vis des Dieux, c’est chez les romains que l’idée de religion a pris corps. Cicéron affirme « qu’il n’y a pas d’intégrité chez les être ni de respect entre eux ni de paix dans les cité si il n’y a pas de religion. Vers380 AP JC que les Christianisme devient la religion officielle. Au 16ième siècle la réforme vas introduire le pluralisme, par sa séparation de la papauté, la réforme vas déterminé une nouvelle façon de vivre et de pensé le Christianisme insistant sur le processus d’intériorisation de la foi. Le siècle des lumière vas critiquer la religion la reléguant au domaine patrimonial et symboliquetransmis par l’histoire. Le siècle des lumière vas préconisé « une religion dans les limites de la simple raison » Kant. Le terme de religion prend voie a un ensemble de thèses concernant dieu ou les Dieux ou la négation de Dieu mais aussi un ensemble de règles individuel ou collective a des pratique ritualiser régit par des autorité qui assure la constance des dogme. Et enfin la religion renvoie a unecommunauté d’homme partageant les même croyances et les même pratiques.
La religion positive : établit dans l’histoire et qui est exprime par des dogme, des rites, qui s’appuie sur des textes fondateurs et considérer comme des témoignages de l’expérience d’un peuple ou d’une communauté. Cette expérience est une expérience de salut. Le Judaïsme et le christianisme insiste sur l’expérience du salutet l’Islam insiste sur le salut par l’intelligence plus que par la liberté.
La religion naturelle : Elle recourt a la conscience, à la raison, au sentiment et qui se dépouille de tout l’apport de l’histoire et notamment des dogmes énoncé par la foi.
1) Quel est le Dieu des philosophes ?
Cicéron définit la religion par « le fait de se soucier d’une certaine nature supérieur que l’on appelledivine et de lui rendre un culte ». Toute religion repose sur un paradoxe l’homme pose l’existence d’un être d’une nature différente de la sienne mais avec laquelle il affirme pouvoir entrer en relation, le paradoxe réside donc sur la reconnaissance d’un écart infini entre l’homme et Dieu et dans la tentative de vouloir dépasser cet écart. La question de Dieu renvoi l’homme a lui-même c’est-à-dire asa finitude. Quand l’homme cherche a pensée la possibilité d’une origine transcendante du monde et de l’humanité, il en vient a considérer qu’il est un être débiteur, qu’il reçoit tout des autres et d’un autre, aucuns homme n’est a la source de son être. Toute homme est obligé de ce recevoir et de s’accepter, c’est pourquoi admettre que Dieu soit à l’origine de l’homme n’est pas nécessairementune faiblesse intellectuel. Alors que la Bible présente dans le récit de la Genèse Dieu comme père créateur, Platon lui pense le monde sensible subordonnée au bien au divin source de cette sagesse.

Le mythe de la caverne. République, livre 7 : p89
• Problème de la connaissance sensible. Ils n’ont qu’une Doxa, une opinion mais pas une vérité car ils n’ont pas la volonté d’avoir la vérité.
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