On apprend dans le para-texte que le colonel Chabert a fait la bataille d’Eylau au services de Napoléon dont on la laisser pour mort , dix an plus tard il réapparait a paris pour trouver sa femmeremariée il demande donc conseil au maitre Derville.
Le discours est descriptif car les verbes sont principalement à l’imparfait: L2 attendait ; L3 était ; L4 avait ; L5 aurait ; L6 présentaitainsi que la présences de repère spatiaux : L4 le cabinet de Curtius
mais aussi les verbes d’état ou de perception: L6 présentait ; L9 paraissaient ; L13 semblait ; L14 décrivait ; L17 projetaientetc,,,
le narrateur est interne a l’histoire car il décrit le colonel Chabert a travers les yeux de l’avoué , il voit donc des chose que seul l’avoué peut voir et savoir.
le point de vu du narrateurentre les ligne 1a9 est externe car il ni a pas de pronom personnel le concernant: L1 le jeune avoué ; L2 le colonel Chabert ; L7 le vieux soldat etc,,,,
la figure de style relevé a la ligne 27 estune comparaison car c’est une mise en relation de deux termes a l’aide d’un terme comparant.
Elle signifie que le visage de cet homme est dégrade par des sentiment ( douleur, misère) comme le marbrese dégrade a la long avec l’eau.
Cette figure de style mais en avant la douleur et la misère de cet homme en passent par les trait et la dégradation de son visage.
La figue de style est uneoxymore, dans le texte elle est justifié par la fantaisie que les peintres s’amusent à dessiner.
Elle fait coexister deux terme « sublime » et « horreur » qui sont de sens contraire afin d’insister surl’effet produit.
Balzac utilise la technique du clair-obscur en faisant apparaître dans un texte tragique un brin d’espoir ou bien le lexique du mot clair comme dans se texte extrait du chapitre 1 ducolonel Chabert : L11 la lueur ; L11 bougies ;
l’effet produit est l’insistance sur le physique qui est décrit à travers un contraste.
Honoré de Balzac est né à Tours le 20 mai 1799 et mort à…