Le désir

LE DESIR

* Le désir : tendance vive nous poussant à rerchercher ce qui nous manque. => sentiment de manque.
-> à distinguer du besoin !!! « si j’ai soif : besoin de boire = necessaire sinon je meurs » alors que besoin = necessité vitale. (nécessaire au sans où je ne peux pas faire autrement)
satisfaction du désir : contingente (superflue)
désir : insatiable (jamais comblé, sans limites)c’est une autre diff avec le besoin : désir pas aussi limité que le besoin. désir = pas raisonable. ex = jouer de casino qui perd tout son argent et joue encore…
Désir : n’en a jamais assez, il semble crier encore càd qu’avec le désir, de sentiment de manque disparait qu’une fois la satisfaction atteinte et il renait encore plus fort, comme renforcé de sa propre satisf’.
« L’ESSENCE DUDESIR EST D’ETRE INSATIABLE  »
=> devenir un débauché. (h dérèglé, malade, esclave de ses désirs) état de servitude (perte de liberté)
Jusqu’au 17° le désir, devenue tellement puissant qu’il finissait par obseder l’H était appellé une passion. => auj’ ADDICTION.

Désir = manque = souffrancer
-> sans compter que le désir peut etre / def’ une souffrance puisque ce qui le caract’ est 1 état demanque.
il nous trouble sans cesse.
il est vrai que renoncer à ses désirs parait austère, sévère maiss il est justifié par la volonté raisonable d’eviter tout ce qui peut engendrer des troubles ou nous oter notre liberté.

Nmbre de philof ont enseigné qu’il est sage de renoncer à ses désirs pour se réaliser dans la vie et vivre heureux.
* PLATON : n’hésite pas à dev le thème de l’absurditéde l’existence tte entière vouée à satisf ses désoirs. Il compare l’H qui passerait sa vie ainsi à un tonneau perçé càd que D est insatiable, impossible à combler, de la mm’ façon que le tono est percé et qu’il faut constament le remplir.
-> aussi souligné / les bouddhistes voyant le désir comme la cause du malheur de l’H et ds l’instiction du bonheur, ils voient le bonheur, le Nirvana.

=>peut être ça la sagesse : ne plus etre entrain de désirer tout ce qu’on a pas mais se suffir à soit mm’ ds le plaisir simple d’exister. C’est ptet’ 1 art de vivre : sans désir, plus d’inquiètude, juste être heureux ici et mnt.

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* MAIS, la renonciation, l’abstinence, l’instinction du désir, est ce que tout ça n’est pas un peu triste ? La vie ne risque elle pas d’etre ennuyeuse ?
=> cequi nous porte dans la vie, c’est d’abord le désir.
désir : aussi puissance positive à laquelle renoncer serait dangereux pcke sans le désir l’H n’est plus rien. -> en effet, désirer vivre c’est sentir en soi une force, une énergie vitale qui nous met en appétit nous donnant envie de lutter, de nous affirmer, de prendre possession du monde.
-> comme quoi le désir n’est pas seulement la cause dumalheur.

Voilà pourquoi SPINOZA (pays bas 17°) voit dans le désir « l’essence mm’ de l’H » (L’éthique)
-> Spinoza ne dit pas que le désir est l’essence mm’ de tout être vivant mais de l’H. en effet, à quel détail près l’animal ne connait pas le désir, il ne connait que le besoin, il est aussi règlé, dirigé par l’instinct qui décide de son régime alimentaire et la qtité de nourriture àprélever. Mais au contraire la faim chez l’H est tjrs melé de gourmandise, de desirs. Sexualité : animal -> instinct de reprod chez les animaux, à des cycles, indif aux partenaitres sexuel. hommes -> sexualité libre de tout cycle et n’est jamais sans le désir.
=> le désir chez l »H est donc la marque de son humanité.
SPINOZA veut aussi dire que le désir est le moteur de l’existence humaine, la sourcevive de son activité. En effet, sans désir l’H est désespéré. Il connait alors ce que les anciens appelaient l’apathie, que les médiévaux = mélancolie et ce que l’on appelle la dépression -> perte généralisée du désir selon l’OMS (org mondiale de la santé)
-> ds la dépression l’H ne désire plus rien faire, et n’est plus rien. En ce sens, il faut préférer avoir des désirs que ne pas en avoir….