Le mal est une rébellion.
Satan : l’ange rebelle , refuse l’ordre divin , veux vivre par rapport à sa propre volonté sans autres
limite que cette volonté ; et c’est par cette question du rapport à la liberté que le mal est
constamment posé.
La profession de foi du vicaire savoyard peut être lu selon un autre point de vue idée de démontrer
que la liberté est compatible avec la vertu , on peutêtre libre , la forme de la liberté est l’obéissance
au lois et au bien.
Si le mal règne sur Terre , c’est parce que précisément les Hommes sont plus facilement porté à
abuser de leurs capacité , à aller au delà des limites qu’ils devraient observer plutôt qu’à les
respecter comme le voudrait le bien , la providence , etc …
Macbeth : Histoire d’un vassal fidèle qui décide d’assassiner sonroi au lieu d’obéir , c’est un rebelle.
Thérèse et Firmin sont d’abord des personnages en rupture avec l’ordre , le monde , la société ,
qui refusent de se laisser enfermer dans les convention sociale , qui refusent d’occuper la place
qu’on leurs a assigné.
On ne peux pas comprendre la question du mal si on se demande pas en quoi le mal est surtout
dangereux parce qu’on peut facilementl’identifier à la liberté , ou parce que la liberté a du mal à
ce passer du mal.
I. Le mal comme principe libérateur .
A. Moyen de s’affranchir du destin
Macbeth , p40 : Macbeth , qui est-il ? l’image qui le précède est amené par le colonel
« est fortune … putain de rebelle »
« mais en vain , car Macbeth le brave … face à face »
Ce personnage qui apparaît comme l’incarnation du mal commence àapparaître comme celui
qui refuse et affronte le destin , qui appairait comme seul homme libre face à des esclaves.
Refus de la fortune , du destin : Camus dans l’homme révolté : révolte métaphysique
Rousseau dans la profession de foi du vicaire savoyard malgré tout il est impossible de concevoir
l’homme libre de définir la liberté humaine en y excluant la capacité de faire le mal et de le choisir.
Àsupposer même que ce qu’on vise ce soit le bien , malgré tout la liberté dont on prétend qu’elle est
indispensable pour donner du prix à cette quête du bien , cette liberté n’existerait pas si elle
comprenait la possibilité de choisir le mal plutôt que le bien ;
Profession de foi du vicaire savoyard , p75 : » … ** en abusant de la liberté … en dégradant sa
nature »
Certes Dieu pour le vicairea créé l’homme libre que pour qu’il fasse le bien par choix et pas par
obligation , mais quand l’homme décide de faire le mal , il ne fait rien de plus que d’utiliser sa
liberté qui serait vaine, n’existerais pas si il pouvait l’utiliser de cette manière.
Le mal est un chemin permettant s’affranchir du destin.
Thérèse et Firmin : la fugue qui les entraine dès le début du récit , cette fuguetrouve sa principal
motivation dans
Les âmes fortes , p54 : circonstance de son placement en tant que domestique « pourquoi […]??
c’était une idée … fait quelque chose »
Formule : « ma mère qui avait de l’ambition pour moi » : formule équivoque : on peut la comprendre
dans deux sens différent :
1. ambition à son sujet : elle voulais assurer un avenir ; ou
2. elle avait de l’ambition à sa place, sans demander mon avis : elle disposait de sa vie sans en
laisser l’initiative.
La fugue ne peux pas être comprise comme un refus de cette vie dicté d’avance.
Rester au château , c’est accepter de ne pas avoir le contrôle de soi même , d’être ce que le monde a
décidé de faire de vous , c’est se soumettre , un destin qui est le notre sans l’avoir choisis.
Il y a bien ici dans la fugue l’idéed’un moyen qui permet de s’affranchir.
Par le mal l’homme peux croire s’affranchir du destin , il peux croire à accéder à une existence où il
réaliserait mieux ces capacités.
B. Moyen de se réaliser pleinement
D’un coté , il explique que la providence, ces capacité , Dieux ne les a pas placé dans l’homme pour
qu’il refuse d’exprimer son sens critique ; ? :s
Renoncer à trop en savoir , à…