Le nazisme dans les années 1930

Chapitre 8 – Le Nazisme dans les Années 1930

Il y aura trois sous points :
1. la conquête du pouvoir
2. l’installation au pouvoir
3. la nature du régime

La république de Weimar est jugée molle, et on reprend cette image d’une plante qui ne prend pas. Au tout début elle a besoin d’aide. La république de Weimar aurait pu prendre si elle avait une adhésion de la classe moyenne, del’armée et de la Haute Finance. Elle aurait pu prendre si la majorité des allemands avaient décidé que ce n’était pas le régime idéale mais que c’était un moindre mal par rapport aux extrêmes. Si la majorité des gens avaient opté pour un régime d’ordre mais de calme, elle aurait eu sa chance. Elle n’a pas eu sa chance car la tentation de l’extrémisme a été plus forte. Il y a eu cette tentation àcause de la terreur de l’hypothèse de l’arrivée du communisme au pouvoir. Mais aussi parce que la république de Weimar dans l’esprit des gens, c’est elle qui a signé la traité de Versailles, et assumé ce traité, donc cette république de Weimar ne consiste pas de bons allemands. Il y a un autre aspect en plus, on dit souvent qu’il n’y avait pas une tradition démocratique, sous entendu, l’Allemagneétait dans l’état d’esprit du Mali aujourd’hui, un pays qui n’était pas apte à recevoir la démocratie. C’est partiellement vrai. Si on va au fin fond de l’Afrique, dans un pays où il y a 60% d’illettrés, il est évident que ce pays n’est pas mure de la démocratie. Il faut un minimum de qualité de réflexion et pour cela il faut des écoles et une éducation. L’Allemagne n’est pas dans cette situationlà, c’est un pays éduqué, niveau moyen de l’éducation sont très bons. Donc comment expliquer le peu d’appétit démocratique chez une nation civilisé ? Là il y a plusieurs pistes :
* Les Allemands sont en quelques sortes des barbares. Ils sont peut être civilisés mais ils n’ont pas notre éducation à nous, Français, Anglais. Ils ce prétendent éduqués mais ils sont très en retard par rapport à nous.* C’est un rejet volontaire de la démocratie de la part d’un peuple qui à l’époque jugeait que la démocratie n’était pas forcement un parti qu’il fallait pour ce peuple. Ce n’est peut être pas forcement le régime idéale pour un pays où tout va mal.

Il y a un point commun entre le communisme et la démocratie les deux ont une prétention absolument inouï. C’est celle de croire que c’est unmodèle indépassable, d’être à la fin de l’histoire. Nous serons dans une sorte de paradis terrestre, où les luttes et la rivalité cessera. Une sorte de jardin édénique. La boucle est bouclée, il y a des massacres et nous arrivons à la fin de l’histoire où l’humanité se concile entre elle. Il y a une sorte de société enfin réconcilier. Voilà ce qui nous prétende nos amis Marxistes. La démocratie ales mêmes prétentions mais elle est plus subtile. Elle nous dit, ce n’est pas un système idéale mais c’est le moins mauvais, et donc il est indépassable parce que les autres régimes sont mauvais. Donc notre système est imparfait mais il a au moins le mérite d’être moins pire que les autres, et que donc, à cause de cela, on sait qu’on est indépassable. Il y a une prétention à jugé les décisions dupeuple Allemand de l’époque surtout par la France, l’Angleterre et les Etats-Unis. Ils ont soutenus des régimes non-démocratiques, alors paradoxe. La démocratie aux Etats-Unis s’apparente aussi à une ploutocratie (régime dicter par les riches). C’est une vision particulière qui est respectable mais qui n’est pas forcement la vision de la démocratie. Les Anglais ont un jugement sévère aussi maiselle n’est pas sans limite. Donc qui sont-ils pour donner des leçons démocratiques avec une telle emphase ? Aucun des pays de la planète n’est en mesure de donner des leçons de démocratie dans le monde. On peut s’interroger sur la nature des régimes, mais c’est dangereux de prendre une posture sur un régime quelconque.
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