armi les écrivains qui ont marqué l’histoire du roman congolais, on peut citer des noms célèbres tels Jean Malonga, Guy Menga, Sylvain Bemba, Jean Pierre Makouta MBoukou, Henri Lopes, Sony LabouTansi, Emmanuel Dongala, Tchichélé Tchivéla, Tchicaya U Tam’Si… qui sont devenus aujourd’hui des classiques de la littérature (négro) africaine d’expression française. D’une façon générale, l’histoiredu roman congolais se fonde sur un itinéraire marqué par deux « mouvements », deux façons d’écrire.
Organe officiel des centres culturels de l’AEF (1950-1960), la revue Liaison fut à la tribune desjeunes intellectuels congolais et fit connaître quelques-uns des écrivains congolais, déjà nombreux à l’époque. Citons : Jean Malonga (Cœur d’Aryenne, 1974), Guy Menga, dramarturge (la Marmite de KokaMbala, 1966) et romancier ( (la Palabre stérile, 1968), Sylvain Bemba, romancier et dramaturge (L’Enfer, c’est Orféo, 1969). Tchikaya U Tamsi, l’un des plus grands poètes d’Afrique noire, publie en1955 son premier recueil : Mauvais Sang. A partir de 1968, l’eesor de la littérature congolaise s’amplifie. Le poète Jean-Baptiste Tati-Loutard fait paraître les Racines congolaises ; Maxime Ndébéka,Soleils neufs en 1969. Le roman est représenté par Emmanuel Ndongala (Un fusil dans la main, un poème dans la poche, 1973), Henry Lopès (Le Pleurer-rire, 1982), le nouvelliste Tchichellé Tchivela(Longue est la nuit, 1980), Sony Labou Tansi (la Vie et demie, 1979). Il faut enfin mentionner le romancier et essayiste Jean-Pierre Makouta-Mboukou et l’essayiste Théophile Obenga (Sur le chemin desHommes, 1984), également poète.
Littérature
Organe officiel des centres culturels de l’AEF, la revue Liaison fut à latribune des jeunes intellectuels congolais et fit connaître quelques-uns desécrivains congolais, déjà nombreux à l’époque.Citons : Jean Malonga (Co ur d’Aryenne, 1947),Guy Menga, dramaturge (la Marmite de Koka-Mbala, 1966) et romancier (la Palabre stérile, 1968),Sylvain Bemba,…