Aucun objet, chose, être vivant sur cette Terre ne pourrait ce qualifier de «rien».
Le mot rien en réalité, ne devrai pas exister. Il ne représente … rien. C’estd’ailleurs la seul chose qui ne représente rien, alternative pour le moins paradoxal.
Un être humain représente forcement quelque chose, nous somme tous un petitbout de bout d’un tout. Le tout qui varie selon les religions ou les vocations scientifiques… Mais c’est pourtant toujours le même tout, vue de manière, plan, point devue différents.
La quête humaine s’introduit souvent par l’accoutumé «qui suis-je». Qui suis-je ? Qui es-tu ? Qui est-il ? Qui somme nous ? La question se posepar tous les chemins, et les plaintes surgissent de cette question, la souffrance et l’anxiété de ne pas se connaître sois-même. Mais de quoi nous plaignons nous ?Puisque dans un premier temps, nous sommes. Qui ? C’est le but de la vie, mais nous sommes. Et c’est ce qui est primordial. A partir du moment ou je suis, je peux êtrele «moi» que j’ai envie d’être, et c’est parce que nous sommes sans savoir qui nous sommes que nous avons la souplesse de changer. Savoir «qui sommes nous»s’apparenterait à mesuré la quantité d’eau exacte dans un lac un jour de pluie. Nous varions, notre tempérament varie et la moindre goute, le moindre millimètre cube d’eau faitvarié la quantité.
Tous ça pour dire qu’être quelqu’un n’est pas important à partir du moment que nous sommes, et que nous ne sommes pas rien par définition. Noussommes la personne que nous voulons être, nous avons se pouvoir. Mais les pathologie humaines nous raccroche à une personne que nous croyons être destiné à devenir.