Organisations

rCM4
L’acteur rationnel:
Il a, il poursuit ses objectifs propres. Il agit, conduit des actions autonomes (relativement)effort de rationalisation entre objectif poursuivie et moyen mis en cause.
L’acteur rationnel poursuit ses objectifs propres, il agit conduit des actions à l’intérieur des objectifs généraux de l’organisation.
Il joue avec les règles du jeu et donc rend compte de l’objectif.L’acteur dispose (construit) des zones d’autonomie dans un système qui proscrit les initiatives.
De ce fait, la zone d’autonomie a une valeur stratégique. Diminuer les déplacements, temps unitaires par opérations,rentre dans un système de mesure (ex 80% un salaire à 100% un autre ) 4 niveau de rémunérations, pour réguler la vitesse de rémunération , il faut voir la rationalisation du travail,on fait une mesure scientifique du travail, puis il y a une pourcentage du travail afin de déterminer le niveau de rémunération.

L’autonomie relative:
cette autonomie est construite et conquise contre les règles formelles organisationnelle; elle a donc une valeur stratégique:
Cette autonomie a une valeur stratégique, de plus elle est cachée, ce qui est un intérêt pour lui de le caché pourprotéger sa créativité; d’avoir un objectif individuel plus élevé si il ne le cache pas et il est certain que l’employeur ne le paye pas en conséquence. Les salariés ont des stratégies par le masquages et autres.
Va voir si toutes les règles sont respectées; il arrive que les règles soient en contradiction, et le salarié peut jouer avec les contradictions, ex la grève du zèle les employésrespectent toutes les règles, par ex contrôleur d’avion respecte toutes les règles aucuns avions volent. L’employé respecte tout les règle sans exception ,par al suite cela débouche à des négociations.
Sa valeur d’usage est forte pour celui qui la possède; elle (autonomie)se maintient si elle reste clandestine et si l’acteur peut la faire présumer.
Il a intérêt de cacher son autonomie et à l’imaginer:on a plutôt intérêt de faire imaginer l’ensemble des ressources soit plus ou moins élevé. L’autonomie sera plus utile pour lui et l’ensemble des salariés. Son activité dépend de la relative confiance avec ses subordonnés;
l’acteur à des objectifs propres; filiation avec la sociologie compréhensive de Max Weber *et la question du sens. Norme et valeur, l’irrationalité.
(forme d’exam pour cettematière : deux sujets au choix un sujet large ou un sujet restreint transversale et particulière : question de l’autonomie, différente approche de l’autonomie)

un concept majeur:
Le pouvoir n’est pas un attribut (conception classique) il s’inscrit et se manifeste dans une relation. Selon Crozier*, lorsque l’on s’approprie le pouvoir cela dépossède ce qui n’ont pas les moyens de ses attributscontre ce qui sont pour le pouvoir, on ne peut concevoir le pouvoir comme un attribut c’est quelque chose qui se manifeste, s’échange et circule. Résultat jamais acquis. Celui qui subit le pouvoir ne peut que subir, si on a une vision plus circulaire qui sont en relation en organisation, on a la finalité de l’organisation, et joue du pouvoir entre eux. Le pouvoir ne peut pas être présumer àl’avance.

Le pouvoir en organisation à 3 caractéristiques selon Crozier + 1 prof:
*relation instrumentale: le sentiment d’avoir intérêt de s’engager dans la relation de pouvoir
*relation non transitive: (transitive:A et +grd que B et plus Grand que C donc A et plus que C), non transitive joue en fonction des toutes les ressources que veulent ou veulent pas engagés des acteurs.
*relationréciproque: mais déséquilibrée
*sanction différée, s’inscrit dans l’avenir des acteurs. Peut s’inscrire dans la durée, mais n’est pas engagement.

La question des zones d’incertitudes dans l’organisation prescriptive, selon Crozier* résultante des enjeux des acteurs, exemple formation des personnels qui s’en occupe dans une entreprise. Il nous indique comment l’évolution dans la durée; la formation…