Introduction
Tous hommes cherche à comprendre qui il est.
La diversité de nos perceptions n’a pas besoin d’une réduction à l’unité sous la forme d’une identité personnelle.
Qu’elle est relation entre la multiplicité de nos perceptions et de nos idées et, celle d’ une possible unité d’identité ? Y-a t’il une unité , une identité derrière la diversité de nos perceptions ?
Dans cetextrait du traité de la nature humaine, D. HUME défend l’idée selon laquelle on ne peut être conscient de son MOI que par des sensations, par l’ensemble des perceptions que le monde nous offre et qui nous donnent le sentiment d’exister, et non, comme D. HUME apporte en partie réponse à ces interrogations en nous indiquant que, pour lui, l’unité du MOI n’existe pas et qu’enfin, si ses sens sont enveille, son MOI est alors réduit à l’état de « parfaite non-entité
Selon Hume , le moi n’existe pas contrairement à Descartes qui posait une telle identité
personnelle avec l’existence du cogito .: l’idée du moi, pour être certaine, devrait provenir elle aussi d’une perception. Or ce n’est pas le cas. Donc le moi n’existe pas. Nous nous réduisons donc à un simple assemblage deperceptions,, sans identité personnelle.
L’homme n’est, que multiplicité de perceptions, sans aucune unité. . Selon cette dernière, toute idée provient des perceptions
Telle est la thèse que va défendre Hume dans cet extrait. Le fondement de ce refus de l’existence du moi n’est autre que sa théorie de la connaissance .
Plan
Ligne 1 à 3 c. Le « Moi » : une fiction linguistique ?
Pour comprendrele raisonnement de Hume il faut définir tout d’abord ce qu’il appele le Moi : c’est ainsi que l’on peut apprendre à mieux se trouver , et à connaitre son identité intellectuelle nous permettant d’avoir une conscience . C’est en moi-même, par l’auto observation de mon esprit , que je cherche à découvrir ce « moi » qui me définit . Mais à chaque fois que Hume essaye , il est devant un obstacle, une perception toutes celles que l’on possède . Apparemment rien de plus évident de comprendre que : c’est le même moi qui a chaud, puis froid, qui ressent la lumière ou des sentiments . Ce que Hume veut nous faire comprendre c’est si l’on veut faire le vide en nous dans notre esprit , pour nous trouver , je ne trouve que en moi les impressions de mes perceptions . En faisant cetteexpérience, Hume peut en conclure que la variété et à la succession de nos perceptions répondrait la continuité d’un moi. Alors le « Moi » n’est rien d’autre qu’un mot désignant en réalité rien de plus qu’une succession indénombrable de perceptions que j’aperçois en moi
Ligne 4 à 6 Il prend l’exemple du Sommeil pour démontrer sa thèse, alors si nos sens sont en veille, on ne perçoit plusrien, du moins on n’est pas conscient de les percevoir, si nous ne les percevons pas nous sommes dans un sommeil tranquille et il nous démontre que le sommeil en nous privant de notre conscience de nous, alors il nous prive d’existence. Hume en conclut que nous n’existons pas. Ainsi selon lui, l’être n’existe que par ce qu’il perçoit, ce qu’il sent, et le monde qui l’entoure ne devientque perceptions. Il exprime par ailleurs que quelqu’un sans conscience de lui-même n’existe pas, puisqu’il ne se ressent rien. En défandant inconscient percevoir
Critique sur le rêve, on peut avoir des perceptions, en rêvant.
Ligne 6 à 12 : la personne que Hume prend à partie défend qu’il est une intuition du moi comme qc de simple et continue. Hume ne trouve pas en lui ce genred’intuition. La personne pourrait très bien être dans le vrai : mais Hume, quant à lui, ne perçoit pas l’idée du moi.
ume termine la démonstration de sa thèse par une illustration. Avant de proposer celle-ci, Hume reformule sa thèse
Ligne 12 à 15 : Le problème devient donc le suivant : existe-t-il une telle impression stable. Si oui, le moi peux exister, sinon, ce n’est pas possible. Hume…