Philosophie poétique

BATTRE POUR VIVRE

Même si tu voles
Même si tu rêves
Même si tu défies tout le monde
Tu resteras dans ton prison
Dans les limites de ton monde
Dans le cœur de ta vie
Prés de tes envies
Qui sont loin de toi
Mais prés de tes pensés
T’as besoin d’aide
T’as besoin de tout ces gens
T’as besoin de ce qu’ils fassent pour toi
Mais est ce que tu sais
Que c’est eux qui t’empêchent de vivretes rêves
De réaliser t’es envies
Ils sont les limites de ton monde
Les prisons de tes fantasmes
Quand tu veux sauter…. Passer …. Arriver
A ce que t’aspires
Ils te souhaitent le meilleur
Mais au même temps
Ils ferment les portes de ton geôle
Ils jettent les clefs
Dans la mer des traditions ….. De la religion….. Des amants.
Il faut que tu gardes l’espoir
Dans la plus hôte montagne.
Ilfaut que tu gardes les clés
Dans le feu de tes nuits
Si non !!
Il faut que tu gardes tes rêves dans tes pensées
Et tu gardes tes actes sur leurs rythmes.
Si non !!
Tu te gardes sous la terre ……….

Ecrit par : NOURI SIRINE.

Notre vie en poème

Sous une seul toiture
Ecoutant le même murmureCherchant le même avenir
Souhaitant le même futur
Prés de la fenêtre
Ou il ya la même bordure

Avec les mêmes croyances
Les mêmes voyances
Mais pas les mêmes cœurs
Pas les mêmes heures
Pas les mêmes rayant

L’un est timide
L’autre est courageux
L’un est résident
Et l’autre est voyageur

C’est notre vie
Qu’on doit l’accepter
Malgré tout les soucisEcrit par : NOURI SIRINE.

Pour mon grand-père
Sans ton amour.

Sous un ciel bleu
Prés de la porte de ta maison
Ou il y a l’arbre de notre amour
Prés des cloches de notre musique
Ecoutant notre chanson …. Ma guitare … mon cœur …. Et toi
Je sens ce que j’ai sentis
Avec toi ; mais sans toi

J’ai le cœur qui bat
Quand il entendta voix
J’ai les yeux qui brillent
Quand elles voient ton visage de bois.
J’ai les mains qui tremblent
Quand elles touchent tes mains
J’ai mes sentiments qui brulent dans mon cœur
Quand je pense à toi

Si tu savais l’amour
Que je porte à toi
Si tu savais les souvenirs
Que je garde de toi
Si tu savais les images
Que je protège pour toi
Tu ne me laisseras jamais

Car sans toi
Je nesuis rien
Si tu n’arriveras pas
Je viendrai chez toi
Car ma vie c’est toi
Et sans toi
Je ne suis rien
Alors reviens… ou je viens ….

Ecrit par : NOURI SIRINE

Remarque : j’étais surréaliste dans ce poème si non je n’ose jamais dire que je ne suis rien.

Une nuit noire

Une nuit noire
Lalumière est claire
Des yeux sévères

Une musique douce
Mes idées poussent
Au clair de la lune

Les arbres pleurent
Les fleurs dorent
Moi, la pluie, et la lune.
On cherche la douceur
On cherche une nuit timide
Mais nous, vous
Nous, vous, on pleure

Nos cœurs blessés
Nos yeux fermés
Nos sentiments soudés
Se dévoilent cette nuit
Ou tout est noir
Moi, ma vie, les arbres, et vous.

Lavie des verbes

Ecrire, parler, exprimer
Manger, boire, relaxer
Dire, faire, réaliser
Sont des verbes bouleversés
Un zéro dans la société
Nous vivons pour satisfaire nos envies
Pas d’idées pas de dignité

Aimer, adorer, admirer
Sont des escaliers
Leurs fin est un effet
Positif, négatif, aucune idée
On vie pour satisfaire nos envies
Mais non pas pour réaliser nos idées

Mourir,oublier, supprimer
C’est notre fin obligé
Nous sommes comme un zéro
Disparut, existé même résultat
Chiffre vide qui peut augmenter
Les autres.

La mélodie de ma vie

Sous la pluie
Quelques bruits
Que j’avais entendu

Des phrases douces
Des mains closes
Un amour posse
C’est ma vie

Prés de la fenêtre
Une volonté d’être
La seule sourde
Dans cette vie

Il me touche au fond…