Préparation culturelle

Table des matières

1 Introduction 3

2 Evolution du cadre des opérations militaires 4

3 La nécessité d’une formation culturelle et linguistique 6

4 L’approche américaine 8

5 L’approche européenne 10

6 L’approche belge 10

7 Conclusion 11

8 Sources 12

« page blanche intentionnelle »

Introduction

Le 21ème siècle intègre de plus en plus les sciences sociales auniveau militaire. Les armées s’intéresse de plus en plus à la psychologie, à la sociologie, etc. Les comportements humains sont devenus.
Nous sommes de plus dans le siècle des communications. On voit des images de guerre dans les magasines, sur les écrans de télévision, sur internet, etc. La guerre est présentée en direct à la population mondiale. Respect population civile existait pa tropauparavant auj frappes chirurgicales on a dissocié les objectifs civils et les objectifs militaires. Avant bombardement une ville pq usine d’armement dedans et on regardait pas aux dommages collatéraux
Médias rapportent donc opinion publique s’émeut des bavures. Mages dans magazine systèmes de communication font qu’on est au courant plus vite de ce qui se passe
Nous verrons que les opérations ontévolué, autant au niveau des acteurs qu’au niveau de l’environnement.
Nous analyserons ensuite l’approche des Etats-Unis d’Amérique face à ce

1 Evolution du cadre des opérations militaires

Aujourd’hui les militaires ne combattent plus d’autres militaires. Nous ne sommes plus dans un monde de guerre conventionnelle. Partout dans la littérature contemporaine, o retrouve les termes deguerres asymétriques, conflit non étatique, guerre de 4ème génération , guerre de contre-insurrection,…
La guerre a donc évolué et n’est plus la même que celle connue pendant les deux guerres mondiales ou encore pendant la guerre froide où le but était d’écraser les forces armées de l’adversaire.
En effet, tandis que par le passé les armées s’entrainaient et se préparaient à combattre d’autresarmées homologues, aujourd’hui les acteurs ont changé. En effet, cette guerre oppose des acteurs qui n’ont rien en commun. D’un côté, l’on retrouve des armées suréquipées, à la pointe de la technologie et d’un autre des acteurs transnationaux, des groupes religieux, ethniques, des terroristes, des trafiquants de drogue, des mafias,…
Le champ de bataille n’est plus le même non plus. Il n’estplus connu et la guerre se fait comme l’a dit le Général retraité britannique Rupert Smith parmi la population, ce qui augmente les risques de dommages collatéraux. En effet, les soldats patrouillent parmi les villages et sont en rapport constant avec la population locale. Les armées régulières sont préparées à faire face à des moyens militaires mais se retrouvent aujourd’hui face à une armée cachéeparmi la population, qui agit dans l’anonymat. Les insurgés attaquent la population civile parce que celle-ci est plus faible et qu’ils veulent obtenir un effet psychologique. En effet, les attaques sanglantes et les attentats perpétrés sur la population civile sont retransmis par les médias. Ces images choquent les populations visées mais aussi les autres populations du monde. Il suffit deprendre l’exemple du 9/11. Tout cela dans le but de perturber et de démoraliser l’ennemi pour le pousser à faire des concessions. Les insurgés utilisent beaucoup les médias. Ils se revendiquent d’avoir fait des attentats au journal télévisé et font passé leur message. La population qui peut voir ces images en direct, les interprète comme un échec de la part des armées conventionnelles qui sont senséesles protéger. Les insurgés utilisent donc le mécontentement de la population pour obtenir son soutien et lui promette la protection. Toutefois, on ne voit pas le travail accompli par les armées conventionnelles lorsqu’elles ont déjoué un attentat ou lorsqu’elles tentent de mettre sur pied un appareil judiciaire correct, une économie, un apport suffisant en besoins primaires, un système…