Psychologie de l’adolescent
Concept de santé mentale, souffrance psychique, situations de crises et troubles psychiques
Introduction
TROEDSSON Ancien directeur du programme de santé de l’enfant et de l’adolescent à l’OMS à la conférence ministérielle européenne de l’Oms sur la santé mentale en 2006 :
« La communauté sanitaire internationale s’inquiète de l’état de santé mentale de nos jeunes[…]il s’agit d’une véritable bombe à retardement et si l’on ne prend pas aujourd’hui les mesure qu’il s’impose se sont nos enfants par million qui en subiront les conséquences. »
Il y a une impuissance du discours de l’adulte : être en bonne santé ne signifie pas chez les 12 25 ans marge l’âge de l’adolescence) être exant de maladie mais être bien dans sa peau bien sa tête.
La notion de capitalsanté reste à cet âge un concept vague et lointain
Que penser de vous :
faire attention
Eviter les excès
Penser à l’avenir
Sont autant de principe vécu par les jeunes comme de s injonctions d’adulte destinées sinon à exercer une emprise sur eux du moins à les contrôler. Toute recommandation trop insistante est en la matière considérée comme suspecte et peu même devenir un sujetd’affrontement surtout si les conseillé ne semblent pas appliquer sur eux même les conseils donnés. Un discours hygiéniste et menaçant qui supposerait les jeunes incapable ou ignorant et qui s’adresserait à eux pour les dissuader par la peur serait inutile ou dangereux. Un tel discours est en effet susceptible de provoquer l’inverse des effets escomptés comme l’émergence d’un replis passif et frileux, lamanifestation d’attitude de défi et même pire de « contre-attitude » délibérément risqué.
La prise de risque comme caractéristique de l’adolescence
L’envie de prendre des risque est particulièrement active à l’adolescence en regard au moins de 3 besoins qui se déclinent au sens propre comme au sens figuré. Ces 3 besoins sont :
* Se distinguer des adultes
* Se mettre à l’épreuve
* Fairecorps avec le groupe des pairs
C’est en cherchant à définir ces propres limites que l’ado s’affirme et se détermine à travers l’expérience personnel des essais et erreurs sous l’impulsion de forte aspiration à l’action à l’autonomie et à la liberté. On parle de recherche identitaire ou de quête de soi.
Mais cette recherche ou quête n’a de sens que si elle lui permet de se situé et de sentirexister par rapport aux autres.
Rupture et isolement
La singularité ne doit pas confiner à l’isolement et à la rupture radicale. le cas échéant lorsque l’ado « tranche dans le vif de sa chair et de ses relation à autrui » les adultes doivent interpréter ces attitudes et comportements comme l’expression d’une triple quête.
* 1ère quête se libérer dela douleur physique ressentie.
On selibère en rompant avec les réalité douloureuse au moyen de divers expédient. En croyant en prendre le contrôle par l’agir. En déviant la souffrance vers des douleurs physique auto infligée.
* 2ème quête : éprouver des sensations fortes pour se sentir exister au risque d’en mourir en se mettant délibérant en danger en partageant ces conduites avec des pairs afin d’appartenir au corps groupale (riteinitiatique) et de s’y sentir considéré.
* 3ème quête : se signaler avec insistance auprès des adultes dans l’attente plus ou moins secrète d’être reconnu, contenu par eux. En adoptant des conduites provocantes en multipliant les demandes marquantes par peur d’être jugé ou d’exposer trop ouvertement ces souffrances intimes.
Le problème est que les adultes témoins ne sont pas conscient de cerôle et que ceux que les ado choisissent comme interlocuteur ne sont pas les professionnels les mieux préparés à repérer prendre en charge et orienter les jeunes en situation de souffrance.
Quelques distinctions de variables géographique :
Les garçon sont plus réticents que les filles à s’adresser à un professionnel de santé ou professeur mais se confie plus facilement auprès d’un éducateur…