Le corpus nous propose trois textes, Le père Goriot d’Honoré de Balzac, réaliste, écrit en 1835. Au bonheur des dames d’Emile Zola, naturaliste, écrit en 1883. Bel-Ami de Guy de Maupassant,naturaliste, écrit en 1885. Nous dégagerons le thème commum de ces quatre textes afin de démonter comment le narrateur met-il en scène le goût de la réussite qui anime ses personnages. Dans un premier temps,nous trouverons les points communs de ces textes, puis, nous finirons par étudier comment les personnages sont présenté dans leur ambition.
Dans ces quatre récits, le cynisme est présent. Nous sommesface à un combat avec son champs lexical, comme le montre le texte A » l’archarnement du combat », « en force ». Dans le texte C, » Il serrait des mêmes, la tête haute. » Dans le texte B, « une lutte », « avec la brutalité ». Nous trouvons également de l’égocentrisme, des pulsions narcissique. Enfin, nous remarquons, en parallèle avec l’hypertrophie du moi, la tendance à l’exagération, avec leshyperboles » A tout prix « , » Sans cesse ». Chacun se projette dans l’avenir. Dans le texte C, le personnage envisage un double jeu, un adultère avec Mme de Marelle. Dans le texte B, grâce à l’emploi du futur « vous verrez « . Dans le texte A, le narrateur exagère son pouvoir, ses ambitions.
Deux des personnages ambitieux sont présentés dans le cadre de leur résussite, en loccurance, les texte A et C,l’autre, le texte B, ne fait encore qu’en rêver. Nous analysons, une focalisation interne ainsi que du discours indirect libre, dans le texte A, ce qui nous permet de suivre le narrateur de plus prêt. Ordans le texte C, cette focalisation rend perceptible le contentement du personnage. Sa « joie » qui nous est livrée : bonheur intense, frissons, joie de la domination, orgueil démesuré, volonté depossession ; il se met en scène et adopte une posture. Dans le texte A, Mouret observe avec délectation le spectacle de ses clientes. Nous percevons qu’il jubile, qu’il savoure sa victoire, qu’il est…