Jeune fille cadette d’un père qui a perdu tout ses biens et qui est partis habiter à la campagne en menant avec lui ses six enfants qui était habituer au luxe, Belle est une demoiselle au physique avantageux et à la gentillesse incroyable. En effet, la jeune cadette de la famille pense plus au bonheur de son petit papa adoré, de ses trois frères et deux sœurs qu’au sien. Malgré son jeune âge, lajeune fillette est déjà très mature car elle connait la valeur de l’argent et c’est que celui-ci n’est pas le plus importants dans la vie. Elle a compris que de posséder des belles robes, des palatines, des coiffures et toutes sortes de bagatelles n’étaient qu’un signe extérieur de richesse qui ne reflétait évidemment pas la beauté intérieur de la personne qui les avaient acquis. Contrairement àses deux sœurs qui sont manipulatrices, égoïstes, capricieuses, qui détestent leur cadette et feraient tout pour lui nuire et arriver a leurs fins, Belle quant à elle est d’une bonté extrême et d’une gentillesse sans nom. Effectivement, la fillette possède un grand nombre de qualité. Un jour, le père reçu une lettre lui annonçant qu’il pouvait récupérer quelques marchandises postés sur unvaisseau, ce qui fit tournés la tête à ses enfants car ils pensaient déjà a réaménager dans la ville. Quand les deux sœurs virent leur père prêt à partir elles le prièrent de leurs rapportés de nombreux présents. La Belle encore une fois fit preuve de bienveillance et comprit que l’argent des marchandises ne suffirait probablement pas à acheter tout ce que ses sœurs souhaitaient et ne demanda rien qu’unerose. Arrivé à destination, on lui fit un procès pour sa cargaison par conséquent le père était aussi pauvre qu’auparavant. Il prit donc le chemin du retour, mais pour se rendre chez lui, il lui fallait emprunter un grand bois et l’homme se perdit. Il neigeait horriblement et le vent soufflait si fort qu’il l’expulsa deux fois de sons cheval. La nuit étant venue, il regarda au loin et vit unegrande lumière qui lui paraissait bien éloignée. Il décida alors de s’en approcher et s’aperçut qu’elle provenaient d’un palais qui était tout illuminé. Le marchand remercia Dieu du secours et entra dans le château qui à sa grande surprise était vide. Il se rendit dans une grande salle où il trouva un bon feu et une table chargée de viandes. Ce château était donc bien encore habité. L’homme décidaalors d’attendre le maître de la maison où ses domestiques. Il attendu pendant un temps considérable mais onze heure ayant sonné sans qu’il ne vît personne et ne put résister à la faim. Il sortit de la pièce et se mit à la recherche d’une chambre où dormir. Il trouva un lit et prit le partit de se coucher. Il était dix heures du matin, quand il se leva et fut bien surpris de trouver des vêtementspropres à la place des siens. Il descendit dans la salle où il avait soupé la veille et la table du déjeuner était disposé pour lui. Il prit le petit déjeuné et sortit chercher son cheval et comme il passait près d’un berceau de roses il en cueillit une branche. En même temps une bête horrible et atroce s’approcha de lui et il l’agonit d’injures. En lui répétant qu’il l’avait accueillit et sauverla vie et que le marchand le remerciait en lui volant des roses. Il lui dit alors que la mort seule pouvait pardonner ce crime. Le marchand l’implora à genoux mais la Bête ne voulait rien entendre. Elle lui fit alors un compromis, celui-ci était de convaincre une de ses filles de venir par elle même mourir à sa place. Il lui fit jurer que si aucune de ses filles ne voulait venir au château, ildevait revenir trois mois plus tard pour subir son sort, le marchand accepta. Il n’avait guère l’intention de laisser une de ses filles se sacrifier pour lui mais pensa qu’au moins il pourrait faire des adieu à ses enfants. La Bête ajouta qu’il pouvait prendre toutes les richesses qu’il voulait dans le château et les mettre dans un coffres qui lui serait amenés chez lui par après. L’homme monta dans…