Resume – Therese Desqueyroux
Chapitre I
Le livre débute lorsque Thérèse quitte le palais de justice en compagnie de son avocat maître Duros. Son père l’attend pour l’amener à la gare où elle prendra le train qui la ramènera auprès de son mari Bernard Desqueyroux qui l’attend dans leur maison d’Argelouse. Thérèse vient d’être acquittée des accusations qui pesaient contre elle soit tentatived’empoisonnement de son mari. Le témoignage de Bernard en faveur de Thérèse, à savoir qu’il aurait lui-même mal dosé le médicament prescrit par son docteur, a sauvé la jeune femme de la cour d’Assises. Le père de Thérèse ne songe qu’à étouffer l’affaire et que le couple reprenne une vie normale car il est candidat aux élections sénatoriales et ne veut pas que le scandale s’ébruite trop et nuise à sacarrière. Thérèse lui exprime le désire de revenir habiter avec lui mais il refuse catégoriquement.
1ère phrase : « THERESE, beaucoup diront que tu n’existes pas. Mais je sais que tu existes …je te démasque ».
D’abord « figure blanche et sans lèvres », elle lui apparut plus tard irritante dans un salon de campagne auprès des vielles parentes; puis « à travers les barreaux vivants d’une famille »,elle le dévisageait de son « oeil méchant et triste » et enfin, « sur ce trottoir ou je t’abandonne, j’ai l’espérance que tu n’es pas seule ».
CHAPITRE I : Au moment où elle aperçut son père qui se détachait du platane, elle se rappela de la voix de l’avocat qui cria : « non-lieu ». Sur la route de Budos, chacun fit part de son avis sur l’audience :
« La déposition da M.Desqueyroux était parfaite,oui. Mais il avait cette ordonnance : en somme, il s’agissait d’un faux…Et c’était le Docteur PEDEMAY qui avait porté p1ainte :
– « Il a retiré sa plainte »
Plus tard, Larroque dit : il faut recouvrir tout ça… ». Avant de la quitter, l’avocat lui demanda subtilement :
« Rejoignez-vous dès ce soir M.Bernard Desqueyroux ? » « Mais bien sur, mon mari m’attend »
THERESE dit à 1’avocat DUROS : « Jecompte demeurer quelques jours auprès de M.Desqueyroux. Puis, si le mieux s’accentue, j’irai chez mon père » = Protestation de son père.
CHAPITRE II (P.18) : Appréhension de sa rencontre avec Bernard. Mixage de différents souvenirs ; « Liste des médicaments + Rire du juge… ».Souvenirs d’enfance avec ANNE DE LA TRAVE. Arrivée à la gare de St-Claire avant Argelouse.
CHAPITRE III (P.23) :B.Desqueyroux a hérité de son père, à Argelouse, une maison voisine des Larroque; puis présentation de la famille Larroque + portrait de Bernard par Geneviève. De retour ds son pays natal, elle se confronte aux problèmes de la nature (cf source tarie de la Hure). Souvenir de mère de Bernard répétant sans cesse : « Pourquoi l’avait-elle épousé? » ELLE L A VOULU… ELLE L A VOULU ». Sentiment de propriété trèsdéveloppé chez Thérèse : « Lui aussi, d’ailleurs, était amoureux de mes pins ».
Bernard dit : « II y a là encore des idées fausses. » Thérèse lui répondit : « A vous de les détruire, Bernard ».
Racisme de Bernard envers les Azévédo. Sentiment de bien-être précaire : « Jamais Thérèse ne connut une telle paix ce qui n’était que le demi-sommei1, 1’engourdissement de ce reptile dans son sein »CHAPITRE IV : Récit du mariage et de la noce. Bernard semblait heureux : « II était enfermé dans son plaisir comme ces jeunes porcs charmants…lorsqu’ils reniflent de bonheur dans une auge (« c’est moi l’auge » songea Thérèse). Par courrier, elle apprit qu’Anne fréquentait le fils Azvédo. A travers 3 lettres, ANNE s’en remettait à THERESE afin qu’elle juge le « droit d’aimer ». Dispute entre THERESE et BERNARDà propos de la famille AZVEDO et de la syphilis qui touchait Jean, fiancé d’ANNE plus volonté « d’écarter à jamais Bernard ». Dans la nuit, elle réfléchit : « II ne faut à aucun prix qu’ANNE manque son mariage avec DEGUILHEM »
CHAPITRE V: Intervention de Thérèse auprès des parents De La Trave afin qu’elle puisse voyager pour oublier Jean Azvédo. Face au portrait idéalisé de Jean AZVEDO, Thérèse…