Cela fesait 3 heure que les Jafas nous avait coupé de notre retraite et nous avais forcer a se retrancher dans les montagnes, la nuitétait fraiche et la lumiere des deux lunes nous surplombé rendait notre zone de surveillance tres bonne a défendre et toute infiltrationde la part
de l’ennemie serait facile de voir. Mon tour de garde avait commencé depuis 20 minutes et je commencer a avoir les yeux quise fermaient, faut dire que les derniere heures ont été mouvementé. Le capitaine avait été bléssé a la jambe et elle etait pas tres bellea voir, courir avec une centaine de kg sur le dos sur 5 km en montant une montagne etait pas de tous repos,
enfin, on est tous vivant.La seul chose que l’ont attendaient c’etais un appel radio de la base pour donner notre compte rendu sur la situation dans laquel on setrouvent.
Mais mon tour de garde n’allait pas se finir sans embûche, car patrouille de jaFa entra dans la zone de surveillance maisils n’avait pas l’air de savoir que l’ont été retrancher ici. Je retenais presque mon souffle pour avoir un silence total autour de moitout en tenant ces chiens dans mes organes de visé. Puis ils repartirent s’engouffrant dans la foret. Mon tour de garde s’acheva et je pusme reposer un mais en dormant que sur une seul oreille, mon arme en main pret en mesure de tirer sur tous ce qui n’est pas pas trailli.