Sujet d’invention à partir du chapitre 18 de candide, dialogue entre le vieillard candide et cacambo
Cacambo prit la parole, ainsi la conversation continua.
-« Dites-moi dans votre pays dequ’elle genre de gouvernement disposez-vous ? Est-ce plutôt un régime dont le souverain à tous les pouvoirs comme dans certains pays européens, ou est-ce un gouvernement qui prône l’égalité ainsi que leslibertés avec une séparation des pouvoirs ? S’interrogea Cacambo.
– Eh bien, dans notre petit pays où or et pierreries ne sont qu’abondance. Il faut un gouvernement composé par le peuple et dont lestrois pouvoirs fondamentaux, c’est-à-dire Exécutif, Législatif et Judiciaire doivent être séparé quoi que le judicaire ne sert pas trop dans cet endroit, mais vous le verrez plus tard ! Ainsi nouspouvons avoir un souverain égal au peuple qui ne peut pas exercer une autorité supérieur pour des fins personnelles. Argumenta le vieillard.
– Pouvons-nous en savoir davantage ? Insista Cacambo.
-Bien sûre, ici, nous obéissons tous à des règles bien particulières ! C’est la constitution de notre Etat. Dans celle-ci, il est dit que toute personne est égale aux autres, mais aussi que l’on estlibre d’une multitude de choses comme celle d’expression, de réunion et pleins d’autres encore. Nous avons aussi la liberté de culte ! Nous sommes un pays en marge de l’Europe mais votre tour viendra !S’exclama le vieillard.
– Oh ! Nous le verrons bien, mais changeons de sujet ! … Cacambo n’eut pas le temps de terminer ça phrase.
– Cacambo, demande-lui de nous parler des coutumes, des traditions dupays. S’empressa de dire Candide.
– Eh bien, ici, nous n’avons pas vraiment de coutumes et traditions à part celle-ci… Oui, tout les quinze ans nous envoyons un enfant, le plus charmant des petitgarçons de dix ans, aller chercher un diamant aussi pure qu’on pourrait le confondre à de l’eau tellement il est translucide. Ce diamant nous le vénérons pendant deux semaines consécutives par…