Isabel Rodriguez
Le 21 mai 2010
FREN 243
Une identité nationale : est-elle possible sans le métissage ?
Aux États-Unis on trouve des influences sociales et culturelles qui viennent partout le monde — de l’Europe, de l’Afrique, du Mexique, et la liste continue. Alors, on dirait que les États-Unis est un vrai mélange de plusieurs de cultures. On trouve aussi que là-bas, on aime encourager deplus en plus tous les types de différences. Surtout on met plus d’importance à cela qui fait à chaque culture à être particulière. En revanche, il existe d’autre pays qui ne suivent pas ce modèle, et la France est un tel exemple. Premièrement, en France on ne met pas d’importance aux différences culturelles car on essaie de montrer au monde que tous qui habitent là-bas, bien sûr légalement, sont desFrançais. Donc il existe un concept d’assimilation, ou bien l’identité nationale. En effet, on ne considère pas si important à avoir l’information de tous les groups ethniques qu’on peut y trouver car ça va contre ce concept de l’homogénéité. Comme Sarkozy a montré en lançant sa campagne sur l’identité nationale, il est plus important d’être Français que d’autre chose. Mais le problème seprésente quand, à nos jours, en créant une identité on fait des références aux endroits d’où viennent nos parents ou nous-mêmes. C’est-à-dire que même si on habite en France et même si on est citoyen permanent, on ne s’identifie pas comme seulement Français. Pour cette raison, et aussi pour d’autres, il faut questionner le concept d’une identité nationale comme Sarkozy le voudrait. Il est nécessaire decomprendre qu’en formant une identité sans inclure d’autres éléments importants, des problèmes seront inévitables. Par exemple, on a non seulement la Marche de l’égalité à Marseille en 1983, mais on a des films récemment réalisés et aussi plusieurs de lectures qui font des références à la formation de l’identité. Les films « Entre les murs » et « La Haine » sont quelques films qui exposent lamanière dont le métissage culturel et social se révèlent en formant une identité.
Donc en analysant ces films, à mon avis, il y a des questions importantes qu’il faut adresser. Premièrement, est-ce qu’il faut vraiment inclure des références aux autres cultures en formant une identité française ? Ou bien faut-il exclure des influences d’autres cultures pour avoir une vraie identité nationale française ?Personnellement, le métissage se passera même si on essaie de le prévenir.
Pour commencer, Dr. Saidi décrive la Marche de l’égalité en 1983 comme une « marche qui a traversé toute la France, [on a] revendiqué l’égalité des droits, le refus du racisme et la diversité » (p.43). Ceci est évident á travers leur slogan qui disait que « la France est comme une mobylette, elle a besoin d’un mélangepour avancer » (Saidi p.43). C’est-à-dire que pour que la France puisse réussir comme une nation unis, il faut savoir reconnaitre l’importance des influences qui parviennent partout- ceux qui ont des racines françaises, ceux qui sont les premiers à être nés là-bas, et ceux qui y sont arrivés et qui maintenant y habitent. Donc un des objectifs pour la Marche était de montrer au gouvernement nonseulement le racisme et les inégalités dans la société plus divers, mais aussi que toutes ces personnes qui venaient d’origines différentes faisaient partie de la société française. Il est souvent difficile d’arriver ou de croître dans un pays qui est culturellement et socialement tellement différent à celui de vos parents. De même, spécialement quand on croît dans ces circonstances, on formera uneidentité autour les influences de la culture où on habite et aussi de la culture dont ses parents viennent. En général, une identité se forme autour les expériences de chaque personne, et chaque personne a des expériences distinctives. De l’autre côté, l’identité nationale française est principalement à propos de l’assimilation.
Comme déjà mentionnée, plusieurs de films montrent les problèmes…