Andragogie

| UE2M3 – RELATIONNEL EN FORMATION |
| |
03/12/2010 | Licence professionnelle des métiers de la formationGuillaume WERY |
| |

I-L’experience 3
II – Réflexions 4
1°) La motivation chez l’adulte. 4
La motivation selon M.Knowles 5
Le modèle dynamique de la motivation chez l’apprenant adulte 8
2°) L’andragogie 9
Les origines de l’andragogie 9
III – Conclusion 13
VI -Bibliographie/ Sitographie 14

Dans le cadre de mon stage pour la licence professionnelle des métiers de la formation, j’ai intégré l’équipe du pôle formation de la CCI Valenciennes basé sur HAUTMONT. De par mon passé d’analyste-programmeur, le choix de ce centre c’est imposé puisqu’y sont présentés des cours sur le pack « Office » de Microsoft, quelques cours des produits Adobe, et parfois de langage deprogrammation (initiation).

Cette structure accueille principalement des demandeurs d’emploi dont la formation correspondant au besoin de leur projet professionnel personnel est financée par pole emploi. Ainsi, une formation comptable, secrétariat, BTS Assistant de gestion,… y est dispensée. De manière plus exceptionnelle, les formateurs sont amenés à se déplacer dans certaines entreprises etde former certains salariés de celle-ci afin de répondre aux besoins de cette entreprise. Et enfin à la demande, il peut arriver que des cours personnels soient mis en place.

Les cours sont présentés de cette manière :
* 2 à 3 séances de cours sur un logiciel.
* Des séances d’atelier afin de mettre en œuvre les points vus en cours.

Dès le premier jour de stage le 18 Octobre 2010,je n’ai pas vraiment attendu pour m’impliquer et limiter mon observation en allant naturellement vers les apprenants en difficultés sur des exercices d’atelier. La phase d’observation s’imposant beaucoup lors d’un cours dispensé par un formateur titulaire ou vacataire de l’équipe de formation.

I-L’experience

Mon premier jour en tant que stagiaire dans le centre de formation, j’ai assisté àun cours sur l’utilisation et les possibilités de l’Internet auprès d’un public demandeur d’emploi. Le groupe était composé d’une quinzaine de personnes. Dès les deux premières heures, j’ai vite constaté que deux ou trois apprenants se détachait du reste du groupe par leurs agitations et prises de paroles plutôt vives pendant le cours.

L’après-midi de cette journée, l’équipe me prévient queprincipalement deux éléments que j’avais repérés le matin même n’étaient pas toujours faciles dans la mesure où ceux-ci avaient prévenu le personnel (formateurs et secrétaires) que leur présence n’était due qu’a la non-interruption de leurs indemnités pole emploi. De plus, on me prévient qu’habituellement lors des ateliers informatiques, les groupes d’initiations et de perfectionnement aux outilsbureautique sont mélangés affectant ainsi un seul formateur aux deux groupes. Mais cette fois ci, les deux groupes en question ne s’apprécient pas et refusent catégoriquement de travailler ensemble dans la même salle.

Je rentre en « action » en étant à l’écoute du public et assistant le formateur titulaire n’ayant plus besoin de se partager entre les deux salles. Naviguant toutes fois entre lesdeux salles, je constate très vite qu’une première personne travail sur les exercices mais sans aucune motivation alors que la seconde ne fait que « surfer » sur Internet. Au fil des séances, j’ai pu parler avec ces deux personnes. La première à pu confier qu’elle avait été assistante cuisinière dans la restauration. Quand à la seconde, j’ai pu remarquer (après plusieurs demandent infructueuses defaire les exercices) que cette personne passait toute la journée à visiter des sites internet sur la sécurité routière.

Je pris alors l’initiative de leur proposer deux petits exercices orientés avec pour objectifs personnel de pouvoir les faire travailler un peu et éventuellement susciter chez eux un minimum d’intérêt à la formation.
* Base de données sur le thème de la cuisine.
*…