Cas neumann arcan

Management Interculturel

Questions TD1 – Cas Neumann – Arcan

Question 1 :

Arcan S.A est une entreprise française dans le domaine des semi-conducteurs de haute technologie. Elle a été fondée en 1985-86 année durant laquelle la tendance commence à être à l’accroissement de la productivité et la compétitivité de l’industrie européenne sur le marché mondial. Arcan est d’ailleurs très activesur les marchés compétitifs internationaux. Vendue il y a 12ans à un concurrent américain, cette entreprise française a dû s’adapter à une culture outre atlantique. Suite à la vente aux américains, il n’y a pas vraiment eu de problèmes car les employés retrouvaient tout de même leurs valeurs dans le fonctionnement interne.

Valeurs : innovation, esprit d’équipe, respect, responsabilité,satisfaction client, qualité, partage, excellence, proximité, multiculturalisme, réputation, ambition.

– Entreprise de taille importante et relativement ancienne (esprit d’entreprise plutôt familial à la base).

– Entreprise non hermétique à une fusion car elle a déjà appartenue à un groupe américain, de plus, grande partie des ses affaires réalisée hors de France (esprit ouvert tant auniveau des affaires que du management).

– Entreprise d’une importance régionale plutôt que nationale (gros employeur dans la région de Nice).

– Néanmoins fort sentiment d’appartenance nationale ou plutôt de respect des cultures.

– Valeur forte de l’entreprise : respect des cultures, tant de la sienne que celle ou elle est implantée car elle privilégie toujours les emplois locaux.Question 2 :

Les points positifs :

– volonté d’intégration

Les points négatifs :

– manque de communication :

– différences culturelles

– manque d’anticipation

On peut remarquer de nombreuses divergences entre Arcan et Neumann du aux différentes cultures. Tout d’abord les processus de travail diffèrent entrainant de nombreuses problématiques du àl’absence d’acculturation. Ce manque d’intégration est renforcé par l’absence d’adaptation et d’explication créant de nombreux quiproquos. Les différences culturelles ne permettent plus alors d’être excusé et un climat de rivalité s’installe. De même, la culture d’entreprise ne se ressemble pas. Le personnel formé par apprentissage à contrario de celui formé académiquement se côtoie ce qui engendre desperceptions différentes. A l’instar, la structure est opposée. D’un coté, hiérarchiquement marqué et respecté, de l’autre, plus autonome et indépendant.

– Un des points les plus problématiques reste l’intégration au sein de l’entreprise sur le plan culturel (respect des langues, respect de la structure déjà présente (dirigeants, main d’œuvre), ce problème peu déboucher sur des conflits decommunication plus que sur des réels conflits d’intérêts, de valeurs. Ces différences culturelles nourrissent les méfiances des deux cotés ce qui entraine un problème de communication (l’interprétation de réactions, commentaires, de réflexions, comportements, décisions) et ensuite des problèmes organisationnels, qui peuvent naturellement créer des perturbations en ce qui concerne les activités puresd’ARCAN (retards, malfaçons, mauvaise coordination).

Question 3 :

Ce qui les différencie :

En premier lieu, la langue les différencie beaucoup. Elle empêche une bonne communication au sein de l’entreprise, d’un point de vue strictement professionnel, mais aussi sur le plan humain entre les salariés. La traduction de certains documents a posé des problèmes entre les équipes des différents payset a eu pour conséquence une forte perturbation des activités de l’entreprise.

La distance hiérarchique est plus forte pour les entreprises françaises que pour les entreprises allemandes. (France 68 Allemagne 35 selon Hofstede) ce qui entraine un fort respect de la hiérarchie, de l’ordre au sein d’Arcan on le remarque : réaction négative des employés lorsque monsieur Schmidt est nommé…