Jean-marie messier et vivendi – messier – folies des grandeur

JEAN-MARIE MESSIER – UN « GENIE MECONNU » ?
Vivendi n’est plus que l’ombre d’elle-même après les années de succès il y a une décennie, pendant la direction turbulente de Jean-Marie Messier entre 1996 et 2002. Il convient tout d’abord de se pencher sur le contexte historique de sa direction qui voit le commence et le krach en 2000 de la bulle Internet ; une époque caractérisé par une grandequantité de fusions-acquisitions, la croissance haute dans les valeurs boursiers et un niveau réduit de risque.
Au début, Jean-Marie Messier ou « J6M – Jean-Marie Messier, Moi-Même, Maitre du Monde », exhibait les qualités interpersonnelles et les compétences entrepreneuriales. Le commencement de son temps aux commandes était prometteur mais nous verrons comment sa direction menait àl’entreprise au premier déficit record de 13,6 milliards d’euros, la plus grande perte dans l’histoire de France.
Il est nécessaire d’examiner le titre de cette rédaction en essayant de répondre à quel point Messier montrait l’image « d’un génie » ou s’il était vraiment « méconnu » dans le monde, que ce soit politiquement, dans les affaires ou dans les médias. Pour tenter de répondre à cette questionnous évoquerons dans un premier temps les réussites de la gestion de Messier. Après, je analyserai ensuite à en décrire les aspects négatifs et j’essayerai de tirer une conclusion.
Venons-en maintenant à considérer la manière dont au début il se comporte envers le monde des affaires. Élève modèle des grandes écoles, polytechnicien, et énarque à 26 ans d’une institution bien connue pour leshommes qui travaillent au gouvernement ou dans le secteur public. Etant donné sa formation il n’a pas pris la route traditionnelle des diplômés d’ENA. Après avoir conseillé Edouard Balladur jusqu’à 1988, à l’âge de 33, il a décidé de travailler chez Lazard Frères où il devenait le plus jeune associe-gérant. Son ancien patron, Antoine Bernheim estimait que Messier était « le dirigeant le plus doué desa génération ». Evidemment, pour cela, on devrait féliciter Messier pour s’éloigner des traditions français afin d’atteindre une carrière ambitieuse.
Eventuellement, en 1996 il prenait la position du patron de Compagnie Générale des Eaux (CGE). Il est fort raisonnable de déclarer que dès le début Messier a eu un impact sur l’entreprise, par exemple, quand il a changé le nom de l’entrepriseen 1998 au nom plus dynamique – « Vivendi ». En changeant le nom, il a souligné une nouvelle étape pour l’entreprise ; ce qu’il a renforcé encore plus avec l’acquisition de « Seagram » et « Canal Plus » en 2000. Cette acquisition commençait son conglomérat international et représente un exemple significatif de son vision global et sa stratégie. Il faut compter aussi qu’il a transformé totalementla démodée Compagnie Générale des Eaux, à l’une qui rivalise avec les entreprises de communication bien établies comme AOL Time Warner et Disney.
D’une manière d’un autre, en convaincant ses actionnaires français et le gouvernement, il a fait l’impossible. Du fait, le gouvernement proclamait son bonheur que Messier plantait «le drapeau français aux Etats-Unis ». On devrait avouer que celan’a pas été une mince affaire, étant donné les traditions profondément enracinées en France et le coût. Pour concrétiser, c’était un point tournant pour l’entreprise et cela déclenchait l’accession de Vivendi au deuxième groupe mondial de communication. A cause de cela, on peut constater que Messier commençait à changer des affaires en France qui a une tendance à l’introspection et à cetteépoque-là, endurcissait le capitalisme français. Mais les actionnaires ne se plaignaient pas quand pour un moment, Messier provenait les actionnaires avec un rendement jusqu’alors jamais vu. Personne ne négligeait sa grande participation dans cet exploit, mais, à cause de son égotisme, il est probable qu’il ait voulu plus de reconnaissance pour ses efforts.
Il est maintenant important d’aborder…