Unité d’enseignement 6.1/S1 : Méthode de travail.
2 E.C.T.S.
Nom, prénom : Aziza S. Note :
Observations :
L’ouvrage étudié est L’Homme qui voulait être heureux de Laurent GOUNELLE. Cet ouvrage est parut la première fois le 13 février 2008 au Edition Anne Carrière en collection Pocket, écrit en langue française, classé dans la sous-catégorie de la littérature française.
D’après sabibliographie trouvée sur internet sur Wikipédia.fr, Laurent Gounelle est un écrivain français. Il est connu pour avoir écrit plusieurs ouvrages dont L’homme qui voulait être heureux , Dieu voyage toujours incognito (Broché – 25 février 2010), Le Protestantisme : Ce qu’il est ce qu’il n’est pas, co-écrit avec André Gagnebin (Broché – 2000). Ses romans initiatiques teintés de philosophie, depsychologie et de développement personnel sont inspirés des principes de la PNL (programmation neurolinguistique).
L’auteur, Laurent Gounelle traite dans son œuvre du développement personnel. Apres avoir travaillé en tant que comptable, il est devenu spécialiste en développement personnel. A la suite du décès de son père et de son meilleur ami en 2006, attendant son premier enfant, Laurent Gounelleressent un besoin d’écrire, de transmettre le plus simplement possible ces choses qui peuvent transformer une existence. L’homme qui voulait être heureux est un ouvrage tiré de faits réel et vécu dans lequel Laurent Gounelle nous raconte comment les relations avec soi-même, avec les autres, rendent heureux.
L’histoire se déroule à Bali ou le personnage principal est Julian, enseignant en vacancesvivant dans un bungalow. Julian est un occidental, blond, mesurant 1m90, dont les traits de caractères prédominant au départ du livre est la crainte, le doute, et le fait de ne jamais s’imposer de choix. Quelques jours avant son départ de Bali, il souhaite rencontrer le maître Samtyang dont la notoriété était connue après la guérison du premier ministre du japon, qui l’avait payé avec descacahuètes.
C’est dans un cadre paradisiaque, avec des paysages luxuriants, que le personnage évolue, nous faisant partager par ces descriptions un pays envoutant, une population dés plus gentilles et une culture et une vision de la vie qui surprend tout les occidentaux. A Bali, il n’y a pas de panneau indicateur, pas de réseau pour téléphone portable, les gens conduisent sans feux la nuit, et croit en laréincarnation. La perception de la mort est complètement différente. Le peuple balinais étant en communion avec les Dieux, ils acceptent tout ce qui leurs arrivent sans se plaindre.
Le second personnage clé est le maître Samtyang, qui a une renommée dépassant toute les frontières. La maison du sage est située à quelques kilomètres d’Ubud, qui se trouve au centre de l’ile. Elle est isolée. A sonarrivée, Julian décrit la maison du sage ainsi que le jardin d’une grande simplicité sans pour autant faire pauvre. La maison du sage est constituée d’une succession de campans, sorte de maisonnette sans murs qui communiquent avec les autres, où loge un Gemko ( ?) Le sage Samtyang est un homme à la démarche lente, c’est un septuagénaire, vêtue sobrement, minimaliste et sans âge, s’exprimant dansun très bon anglais avec beaucoup de douceur. Son regard est lumineux contrastant avec les rides de sa peau tanné; il a une malformation à l’oreille droite comme si le lobe a était sectionné. Son visage exprimé une sorte de bonté.
Au cours de l’auscultation, le maître Samtyang souligne que Julian est en parfaite santé mais qu’il souffre d’un tout autre un mal : il est malheureux. A partir de cettedéclaration, le maître Samtyang va mettre en place un raisonnement, une argumentation, une explication des différents raisons du mal-être de Julian. La démarche pédagogique de Maître Samtyang va être illustrée par des exemples concrets et par des missions suscitant des actions poussant Julian à comprendre et à transmettre à son tour sa propre compréhension de lui-même et des autres personnes…