Liberté

L’indépendance : absence de contraintes : possibilité de suivre son bon plaisir sans être gêné ou entravé par autrui, par des conditions socioéconomiques. absence de contraintes.– L’autonomie : « L’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté » Rousseau. La volonté morale pose la loi (pour tous) à laquelle elle se soumet: la volonté se prend elle-mêmepour objet, elle veut sa réalisation, elle a pour fin elle-même.

— La liberté économique ………(à ne pas oublier)
Que l’esclavage assurait … T.P Aristote p.61 n°12
Quel’argent peut assurer… (Qu’elle est cette liberté de voyager sans le pouvoir de payer le prix du voyage ?) T.P p.452 n°1
–> poser alors le problème: liberté, travail , loisirs (T.PMarx p.453 n°2 – P.P p.360 , 361).
le travail fait-il violence à la nature humaine?

– Une définition de Bergson qui semble évidente mais qui pose beaucoup de problèmes: qui sembleévidente mais qui pose beaucoup de problèmes:
« On appelle liberté le rapport du moi concret à l’acte qu’il accomplit » (Essai sur les données immédiates de la conscience p.165).L’acte est le mouvement volontaire d’un être qui produit un changement. Mais qu’est-ce que le moi? Une idée métaphysique qui réunit l’ensemble des états internes sans qu’aucuneexpérience intégrale puisse lui correspondre: « une notation commode ».
Quelle peut-être l’existence d’une idée et peut-elle avoir une efficacité? Dire que le moi est concret c’est leramener dans le domaine de l’expérience et lui faire perdre son caractère d’idée métaphysique. Quand au mot rapport il ne peut être déterminé par l’identité ou la causalité, ce quialiènerait le moi en le transformant en chose.

Il reste que la liberté peut se concevoir selon trois figures, selon trois formes de pouvoir s’exerçant sur trois sortes d’objets.