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nonpzefjiopjiopzefjioBoltanski questionne la frontière entre absence et présence. En effet, l’absence est un sujet récurrent dans son travail : la vidéo comme la photo sont des présences, des mémoires qui font revivre les absents. Il a mis ainsi en perspective les souffrances endurées par les juifs dans certaines de ses vidéos qui expriment, sans aucun mot, l’horreur de la guerre.

Employantdivers matériaux (photographies anciennes, objets trouvés, carton ondulé, pâte à modeler, luminaires, bougies…), Boltanski cherche l’émotion à travers toutes les expressions artistiques qu’il utilise : photos, cinéma, vidéo. Les thèmes omniprésents dans son œuvre sont la mémoire, l’inconscient, l’enfance et la mort.

Une des particularités de l’artiste est sa capacité à reconstituer des instantsde vie avec des objets qui ne lui ont jamais appartenu mais qu’il expose pourtant comme tels. Il imagine une vie, se l’approprie et tous les objets de ses dossiers, livres, collections sont les dépositaires de souvenirs. Ils ont un pouvoir émotionnel fort, car ils font appel à la « petite-mémoire », c’est-à-dire à la mémoire affective.

Ses œuvres en appellent au souvenir, du souvenir d’enfanceau souvenir des défunts, et d’une histoire personnelle à l’histoire commune de toutes et de tous. En 1972, Boltanski intitule une section de son exposition « mythologie individuelle », un concept représentatif de son rapport à l’autobiographie.

Christian Boltanski est membre du Narrative Art. Ce mouvement revendique l’utilisation de la photographie ainsi que celle d’un texte. Ces deuxutilisations sont bien séparées dans l’œuvre ; leur lien doit se faire par une relation mentale.

Boltanski questionne la frontière entre absence et présence. En effet, l’absence est un sujet récurrent dans son travail : la vidéo comme la photo sont des présences, des mémoires qui font revivre les absents. Il a mis ainsi en perspective les souffrances endurées par les juifs dans certaines de ses vidéosqui expriment, sans aucun mot, l’horreur de la guerre.

Employant divers matériaux (photographies anciennes, objets trouvés, carton ondulé, pâte à modeler, luminaires, bougies…), Boltanski cherche l’émotion à travers toutes les expressions artistiques qu’il utilise : photos, cinéma, vidéo. Les thèmes omniprésents dans son œuvre sont la mémoire, l’inconscient, l’enfance et la mort.

Une desparticularités de l’artiste est sa capacité à reconstituer des instants de vie avec des objets qui ne lui ont jamais appartenu mais qu’il expose pourtant comme tels. Il imagine une vie, se l’approprie et tous les objets de ses dossiers, livres, collections sont les dépositaires de souvenirs. Ils ont un pouvoir émotionnel fort, car ils font appel à la « petite-mémoire », c’est-à-dire à la mémoireaffective.

Ses œuvres en appellent au souvenir, du souvenir d’enfance au souvenir des défunts, et d’une histoire personnelle à l’histoire commune de toutes et de tous. En 1972, Boltanski intitule une section de son exposition « mythologie individuelle », un concept représentatif de son rapport à l’autobiographie.

Christian Boltanski est membre du Narrative Art. Ce mouvement revendiquel’utilisation de la photographie ainsi que celle d’un texte. Ces deux utilisations sont bien séparées dans l’œuvre ; leur lien doit se faire par une relation mentale.

Boltanski questionne la frontière entre absence et présence. En effet, l’absence est un sujet récurrent dans son travail : la vidéo comme la photo sont des présences, des mémoires qui font revivre les absents. Il a mis ainsi en perspectiveles souffrances endurées par les juifs dans certaines de ses vidéos qui expriment, sans aucun mot, l’horreur de la guerre.

Employant divers matériaux (photographies anciennes, objets trouvés, carton ondulé, pâte à modeler, luminaires, bougies…), Boltanski cherche l’émotion à travers toutes les expressions artistiques qu’il utilise : photos, cinéma, vidéo. Les thèmes omniprésents dans son œuvre…