Economie

Devoir de management des entreprises

1. La logique entrepreneurial de Jean-François Bristzo se matérialise ici par le découpage particulier de son atelier en mini usines qui se destinent chacune àun client précis, avec à leurs têtes un « chef » souvent un ancien ouvrier expérimenter, cet vision entrepreneurial propre à se chef d’entreprise, pour qui il n’y a pas de performance sans bonheur,et pas de bonheur sans responsabilité, influe directement sur sa logique managérial, sa décision d’innover concerne donc son type de management, chez Vifa il n’y a plus de castes ouvriers et cadres, ladirection garde juste un œil sur le prix de revient des pièces. L’ouvrier n’a donc plus d’échelons hiérarchiques superposés contrôlant leur manière de faire, c’est lui qui décide du tempo. Celasemble fonctionner du faites que l’entreprise Vifa, n’a jamais connu de retard dans ses livraisons. Une confiance aveugle est faite au salarié qui se trouve pratiquement en situation d’auto gérance, uneesquisse de mangement à la google se dessine dans cette entreprise picarde ? On voit donc ici que Jean-François Bristzo répond donc aux soucis premiers d’un entrepreneur qui est la mise en place d’unprojet cohérant articulant contraintes, compétences et ressources. Enfin trois règles de management sont régaliennes chez Vifa :
– un discours simple et plaisant afin d’êtres compris de tous
– lessuppressions des tâches inutiles
– des surprises pour faire plaisir, rendre heureux ses salariés
On répond donc aux contraintes managériales qui sont de d’optimiser les ressources qui lui on étéconfié.
Elles sont donc complémentaires, et même l’une découle de l’autre dans ce cas précis, c’est la vision avant-gardiste de ce chef d’entreprise qui le pousse à entreprendre, à innover une refonte deson management et cela tout en répondant parfaitement aux contraintes rencontrées, on rencontre donc là effectivement un entrepreneur et un manager selon la définition de Schumpeter dans son…